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Depuis le début de l'histoire de l'automobile, on essaye de classer les types de carrosserie. Mais ces différentes tentatives n'ont jamais réellement été satisfaisantes en raison, entre autres, de l'évolution des carrosseries ainsi que des différences importantes d'un pays à l'autre.
Voici les principaux jalons de la classification des types de carrosserie :
La législation française définit six catégories de carrosserie : Conduite intérieure, cabriolet, break, commerciale, handicapés et divers[1].
En se basant sur la norme ISO et l'évolution du vocabulaire automobile, on peut classer les carrosseries comme suit :
Ces grands types de carrosserie définissent davantage la silhouette que la carrosserie elle-même.
Un monocorps (ou véhicule monocorps ; monovolume) est une voiture dont la silhouette ne présente aucun décrochement, son profil formant une ligne en tous points convexe de l'avant à l'arrière. Le pare-brise se situe dans le prolongement du capot.
Ce type de véhicule réunit dans un même volume :
On retrouve cette silhouette surtout sur les Segment A, Segment M1 et Segment monospace.
Les monovolumes disposent en général de cinq portes, mais il en existe aussi à trois portes (ex : Renault Twingo, Peugeot 1007 et Renault Avantime), Renault définissant même ce dernier comme un coupéspace.
Un bicorps ou deux volumes est un véhicule dont la silhouette présente un décrochement à la base du pare-brise. Ce type de véhicule comporte deux volumes distincts :
L'expression « deux volumes » est généralement moins utilisée que celle de « bicorps ».
On retrouve cette silhouette surtout sur les segments automobile A, B, M1, M2 et H1.
Concernant le nombre de portes, on retrouve dans cette catégorie les véhicules de type :
Historiquement, toutes les deux volumes n'ont pas un nombre impair de portes. On compte en effet le hayon comme une porte depuis que celui-ci existe. Une Renault 4, une Renault 16 et la quasi-totalité des deux volumes actuelles sont donc des 3 ou 5 portes. Mais le hayon ne s'est généralisé que dans les années 1970 sur les deux volumes. La Citroën GS, la Peugeot 104 ou encore l'Alfa Romeo Alfasud sont ainsi nées avec quatre portes et non cinq, bien qu'étant des deux volumes. L'ouverture de leur coffre n'intégrait en effet pas la lunette arrière et ne pouvait donc être comptée comme une porte.
Par extension, plusieurs types de carrosseries peuvent être des bicorps :
Dans les faits, les termes bicorps ou deux volumes sont essentiellement associés à des berlines. Les breaks, tout-terrains (SUV, Crossover, 4x4...) et véhicules utilitaires appartiennent de fait à une catégorie définie simplement par leur appellation. Ainsi, une berline peut être deux volumes, trois volumes, voire monovolume. Un break, qui est d'emblée un véhicule à deux volumes (et n'a donc pas besoin de cette précision) répond donc davantage à la catégorisation « break » que « deux volumes ».
Une tricorps (ou véhicule tricorps ou trois volumes) est une voiture dont la silhouette présente un décrochement à la base du pare-brise et à la base de la lunette arrière.
Ce type de véhicule comporte trois volumes distincts :
Les anglophones utilisent l'appellation plus parlante encore de « three box », soit littéralement « trois boîtes » : le capot, l'habitacle et la malle arrière, bien distincts les uns des autres. Le terme « trois volumes » est plus couramment utilisé que le terme « tricorps ».
La définition même des berlines trois volumes fait qu'elles ne disposent pas de hayon. Sauf exception (asymétrie droite-gauche), elles ont donc un nombre de portes pair : deux ou quatre (voire six mais, dans ce cas, bien que trois volumes, elles appartiennent davantage à la catégorie des limousines).
On retrouve cette silhouette surtout sur les Segment M2 (berlines moyennes supérieures) et Segment H1 (grandes routières). Dans certains pays de l'est et du sud de l'Europe, ainsi qu'en Amérique latine notamment, on trouve également des trois volumes du segment B. Enfin, la catégorie des compactes est aussi souvent déclinée en berline trois volumes, y compris en Europe (Volkswagen Jetta, Renault Fluence) bien que la demande y soit faible ; elle est forte surtout aux États-Unis et en Asie.
(messerschmitt KR 175 ) et KR 200.
Selon la définition ISO de 1977. Norme 3833:1977.
La berline, à l'origine, est une voiture hippomobile construite à Berlin pour l'électeur de Brandebourg. Sa robustesse en fit au XVIIIe siècle le véhicule favori des voyages.
Actuellement, la berline est une automobile fermée par un toit rigide fixe, avec un pare-brise fixe, quatre portes latérales, et quatre fenêtres latérales. Le terme est employé abusivement pour certains modèles à deux portes latérales dont la dénomination officielle est coach. Le nombre de places d’une berline est au minimum de quatre[2].
Cette carrosserie peut avoir trois types de silhouette :
Le nombre de places à bord d'une berline est au minimum de quatre sur deux rangées, avec comme configurations possibles :
La berline, avec deux ou quatre portes latérales, présentera :
Certaines berlines sont dites sans montants lorsque le pilier retenant la porte arrière ne se prolonge pas jusqu'au toit.
Les équivalents en langues étrangères sont :
Limousine désigne les voitures équipe de 3 vitres latérales (fixe ou non) par côté telles que la Citroën BX et la Renault 4L ;
Renault Twingo citadine monocorps.
Peugeot 306 berline 5 portes.
Audi A4 2004 berline tricorps.
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Un break (faux anglicisme), ou une familiale au Canada français, est un type de carrosserie automobile similaire à une berline, mais avec un toit qui se prolonge jusqu'à l'aplomb de l'arrière du véhicule. En anglais, il existe plusieurs termes selon les pays : « estate » (au Royaume-Uni), « station wagon » (aux États-Unis, au Canada anglophone et en Australie) le terme « wagon » tout court est aussi parfois utilisé en Australie. Le terme français européen actuel vient, comme le nom des différents types de carrosseries automobiles, du nom d'un véhicule hippomobile : à l'origine, le break est une petite voiture destinée au dressage des chevaux (« to break » signifie dans le langage équestre « rompre », « dresser »). Par la suite le break fut modifié pour le transport d'objets et de personnes en allongeant la caisse qui fut munie de deux banquettes en vis-à-vis. Puis, à partir de la généralisation des caisses carrées, vers les années 1920, ce que l'on appelle actuellement break fut appelé en français « limousine commerciale » ou « limousine familiale » selon le nombre de banquettes (un modèle très connu de ce type fut par exemple la Citroën Traction Avant, dont les dérivés en carrosseries limousines commerciale et familiales furent très populaires en France). Aujourd'hui le terme « break » est principalement employé par les Franco-Européens et parfois par les Britanniques à la place d'« estate ».
Le nombre de places est au minimum de cinq, avec comme configurations possibles :
Un coupé désigne à l'origine une carrosserie fermée à deux portes et deux glaces latérales (ce qui le distinguait du coach, à quatre glaces latérales)[3]. De nos jours, le terme « coupé » désigne le plus souvent une berline à deux portes et possédant généralement deux ou quatre places. Certains coupés plus récents comptent cinq places, voire six (trois à l'avant, trois à l'arrière) à bord de certains modèles américains des années 1950 à 1970. Un coupé se caractérise souvent par une hauteur plus faible qu'une berline équivalente, mais avec la mode des voitures hautes, ce n'est plus une caractéristique déterminante. En fait, très souvent, le terme « coupé » désigne un coach, c'est-à-dire une berline deux portes, quatre places à caractère sportif ou bourgeois, pour le distinguer d'une berline trois ou quatre portes vendue pour une utilisation plus familiale. La différence est le plus souvent devenue commerciale et non une différence évidente de forme.
Généralement, il s'agit d'une déclinaison d'un modèle de voiture dite berline. Il existe aussi des coupés non dérivés de berlines. Il s'agit le plus souvent de voitures dites de Grand Tourisme (par exemple la Porsche 911), représentant de plus faibles volumes de vente, vu leur exclusivité. Enfin, il existe un type de modèle qui combine le principe du coupé et du cabriolet, dit « coupé cabriolet ».
Packard 8 Coupé de 1936.
Lotus Elan coupé de 1974.
Peugeot 407 coupé.
Opel Calibra coupé de 1995.
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Style de carrosserie introduit par Buick en 1949 sur le modèle Roadmaster Riviera qui combine le toit fixe d'un coupé et l'absence de montants centraux entre les quatre glaces latérales qui s'abaissent et donnent l'illusion d'une glace latérale unique, comme sur un coupé authentique. Le terme anglophone « hardtop » est souvent utilisé et vient de l'appellation « hard top convertible » introduite par GM en 1949 pour identifier ces modèles qui utilisaient une carrosserie de décapotable à laquelle un toit fixe avait été soudé.
Ce style de carrosserie fut populaire aux États-Unis pendant plusieurs années de même qu'au Japon. Certaines voitures européennes sont toujours disponibles avec ce style de carrosserie.
Abusivement appelés « coupé », puisqu'il s'agit de berlines à quatre portes, mais « taille basse », les coupés quatre portes sont des automobiles au style sportif. Elles sont généralement plus longues, plus larges, moins hautes (ou semblant l'être, via des artifices de style : pavillon fuyant, haute ceinture de caisse, surface vitrée réduite) et moins habitables que les berlines dont elles dérivent.
L'usage de ce terme de « coupé quatre portes » est un abus de langage mercatique des constructeurs. En 2018, Mercedes-Benz (avec la CLS, la CLA et la AMG GT 4 portes) , Maserati (avec la Quattroporte), Aston Martin (avec la Rapide), Volkswagen (avec la CC pour « coupé concept » puis l'Arteon) Audi (avec la A5 Sportback et la A7), BMW (avec la série 6 Gran Coupe et la série 4 Gran Coupe), Porsche (avec la Panamera) et DS Automobiles (avec la DS 4) utilisent cette terminologie pour vendre ce type de berline.
Le break de chasse, également appelé shooting-brake, est un type de carrosserie bicorps, disposant d'une silhouette relativement basse. Il s'agit le plus souvent de l'évolution d'un coupé ou d'un cabriolet vers un break, dont l'utilisation est plus orientée vers les loisirs que vers une fonction utilitaire pure. De fait, de nombreux breaks de chasse sont basés sur des coupés luxueux.
Reliant Scimitar GTE.
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Au départ, le cabriolet est une voiture hippomobile très légère, à deux roues et deux places, élégamment munie d'une capote mobile et créée au XVIIe siècle. Son nom vient du verbe « cabrioler », c'est-à-dire « faire des cabrioles » sur les chemins empierrés de l'époque, cabrioles dues à sa légèreté. Elle connut une grande vogue à Paris au XVIIIe siècle.
De nos jours, le cabriolet (parfois appelé « décapotable » lorsqu'il est doté d'une capote) est une automobile ouverte et découvrable grâce à une capote ou un toit escamotable, avec un pare-brise fixe, et des portes sans encadrement supérieur. Il peut être dérivé d'une berline ou d'un coupé, comme disposer d'une plateforme qui lui est propre. C'est toujours un deux-portes, qu'il offre deux ou quatre places, par contre le qualificatif de « cabriolet » ne peut être employé pour une quatre-portes car la voiture est trop lourde pour « cabrioler », on l'appellera donc « décapotable » (ou « convertible » s'il n'y a pas de capote mais un toit en dur escamotable).
Cette carrosserie a comme type de silhouette :
Les sous-types de carrosserie qu'on peut regrouper sous l'appellation de cabriolets sont :
Les termes en langues étrangères sont :
Cas des découvrables : les « découvrables » ne sont pas des cabriolets, elles conservent les montants avant/arrière de la berline dont elles sont dérivées. Ceci permet souvent des modèles moins onéreux que les vrais cabriolets. Les découvrables sont proposées en série depuis 1935 environ (Volkswagen, Peugeot, Fiat, Adler, Renault, Morris, Citroën...). Elles sont parfois reconnues comme des berlines (Citroën DS3 Cabrio , Fiat 500 C), parfois comme des cabriolets (Citroën C3 Pluriel) sur le certificat d'immatriculation (rubriques J2-J3).
Suivant la définition ISO d'octobre 1971[4], une limousine est une carrosserie automobile fermée par un toit rigide fixe, avec un pare-brise fixe, quatre ou six portes latérales, six glaces latérales ou plus, disposant d'une malle arrière sans communication directe avec l'habitacle.
Au départ, la limousine est un type de véhicule hippomobile en usage dans la province française du Limousin. Son nom pourrait venir d'une vaste pèlerine, la limousine, que les habitants du Limousin portaient autrefois pour se protéger de la pluie ; laquelle aurait donné son nom aux premières voitures nommées limousines où seules les places arrière étaient protégées par des vitres[5]. Autre hypothèse, le nom aurait pu être donné par Charles Jeantaud, un carrossier né à Limoges (1843-1906) et inventeur de ce type de carrosserie[5] appliquée aux premières voitures confortables.
Une variante où seule la banquette arrière est découvrable est appelée « Landaulet » (car ce type de carrosserie, au début hippomobile, provient à l'origine de la ville de Landau, capitale du Palatinat rhénan). Particulièrement prisé des chefs d'États pour les apparitions en public, ce type de carrosserie est quasiment abandonné par crainte des attentats. Les dernières apparitions officielles d'un Landaulet furent celle de la Peugeot 607 Paladine, élaborée par Heuliez lors de l'investiture du président de la République française Nicolas Sarkozy en 2007 et celle de la Lexus LS 600 H lors du mariage d'Albert II de Monaco et de Charlène Wittstock en 2011. Seul Maybach commercialise ensuite un Landaulet entre 2007 et 2012.
« Limousine », souvent abrégé en « limo », aux États-Unis, désigne aujourd'hui une voiture luxueuse avec chauffeur. En Allemagne, le terme distingue simplement les berlines à six vitres latérales des berlines à quatre vitres, quel que soit leur gabarit. Les voitures allongées, appelées « stretch limos » sont essentiellement un phénomène nord-américain ; les deux principales marques concernées par cette modification, Lincoln (avec le programme Qualifed Vehicle Modifers - QVM) et Cadillac (avec son programme Cadillac Master Coachbuilder - CMC), n'approuvent pour des raisons de sécurité des allongements que jusqu'à 3 mètres (120 pouces) pour la Lincoln MKT Town Car et 3,50 m (140 pouces) pour l'énorme SUV Lincoln Navigator, et 1,80 m (70 pouces) pour Cadillac[6], mais ces allongements vont parfois plus loin.
Les transformations actuelles s'orientent vers plus de volume intérieur en utilisant des véhicules de grandes dimensions (4x4 notamment), et en surélevant le plafond.
La plupart des limousines sont utilisées par des sociétés de location de voiture avec chauffeur (voiture de tourisme avec chauffeur ou « transport de personnes » en France), ou sont des véhicules de fonction, propriété de grandes entreprises ou d'administrations (gouvernements, etc.). Rares sont celles possédées à titre privé.
Un roadster est une automobile à deux places, décapotable, traditionnellement sans fenêtres latérales (ex. Lotus/Caterham Seven, Morgan, premières MG, Triumph, SMS Tilbury, etc). Pour les automobiles modernes, le mot est souvent employé pour décrire une décapotable à deux sièges sans armatures fixes de fenêtre, particulièrement une voiture de sport légère. Ici, l'utilisation du mot roadster est plus un terme marketing que technique, évoquant le sentiment d'une voiture décapotable pour le plaisir, comme celles du passé.
Traditionnellement, ce type de carrosserie place le plaisir avant les aspects pratiques. Les voitures de type roadster sont populaires dans le milieu des collectionneurs et sont souvent mieux cotées que d'autres modèles décapotables. De nombreux roadsters d'avant-guerre avaient un siège de coffre.
Ces automobiles sont généralement des propulsions, offrant ainsi dynamisme et plaisir.
Le nom de roadster est réapparu en 1990 avec l'introduction du Mazda MX-5/Miata. Cependant ce ne sont pas des roadsters dans le sens traditionnel du terme.
Une appellation plus large englobe les BMW Z4, Honda S2000, Mercedes SLK, Porsche Boxster, DeLaChapelle Roadster, M.-Spyder de Toyota, MG F & TF, Mazda MX-5/Miata, Smart roadster et Nissan 350Z.
Le spider ou spyder (chez Maserati ou Porsche) désigne un type de carrosserie automobile 2-places cabriolet. Les carrossiers italiens font une différence entre une voiture décapotable dérivée d'une berline de série, qui est alors appelé « cabriolet », et une voiture dont la carrosserie a spécifiquement été étudiée et dessinée pour être ouverte, laquelle est appelée « spider ».
Certains véhicules portent cette dénomination, c'est le cas par exemple de la Porsche 550 Spyder, de la Renault Spider, de l'Alfa Romeo Duetto Spider, ou de la Fiat 124 Sport Spider.
On trouve l'origine du terme avec le phaéton, une voiture hippomobile ouverte du XVIIe siècle qu'on appellera rapidement « spider » (« araignée ») aux États-Unis à cause de son allure arachnéenne[7],[8].
La terminologie « speedster » en est inspirée, mêlant « spider » et « speed » (en français « vitesse »). Deux exemples sont la Porsche 356 speedster ou l'Opel Speedster, deux décapotables.
Un pick-up (ou pickup), aussi appelé SUT (Sport Utility Truck), est une sorte de camionnette munie d'une caisse ou d'un espace ouvert, pouvant être bâché, à l'arrière. Au Québec, c'est d'ailleurs le terme « camionnette » qui est utilisé pour désigner ce véhicule. Ils sont parfois dérivés des 4x4 d'un même constructeur (exemple : le Nissan navara est dérivé du pathfinder).
Ce type de véhicule est apparu aux États-Unis, chez les fermiers au milieu du XXe siècle.
Ce style de carrosserie très marginale, rare et atypique, consacré à des concept-cars, dite « runabout » ou « skiff », est une variante des coupés cabriolets roadsters / spider inspirée des formes et concept de bateaux runabout des années 1900 et bateaux à moteur de plaisance plus récents.
Peugeot Type 160 Skiff Labourdette, 1923.
Elles sont créées, entre autres, par des carrossiers designers de concept-cars, comme Jean Henri-Labourdette (1888-1972), créateur des carrosseries skiff.
Lancia Aprilia, runabout Corsa Sport Pagani-Riva, 1946.
Peugeot 406 Concept Toscana, 1996.
Peugeot 806 Runabout, 1997.
Ces types de carrosseries plus spécifiques sont plus des sous-types ou des croisements de types ; ce sont souvent des appellations commerciales qui sont rentrées dans le langage courant :
Une berline sans pilier central est un type de carrosserie introduit en 1955 sur les automobiles de marque Buick et Oldsmobile (« pillarless » en anglais) et devenu populaire par la suite aux États-Unis, et plus tard sur certaines voitures japonaises. Dans ce type de berline, le pilier qui soutient la porte arrière ne se prolonge pas jusqu'au toit de la voiture. Les inconvénients de ce type de carrosserie sont un manque de rigidité et le manque de protection des passagers en cas de choc latéral.
Parmi les berlines sans pilier central françaises, on trouve la très luxueuse Facel Vega Excellence des années 1960 et la Renault Avantime plus récente.
Cette architecture est à distinguer de la construction de portière sans montants, plus fréquente, où les vitres sont montées sans encadrement, comme sur les Citroën DS et C6 ou de nombreux coupés, comme la MG MGB. L'inconvénient de cette conception est la difficulté à assurer une bonne étanchéité de la portière en position fermée, surtout à grande vitesse.
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