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Airbus Helicopters | |
Logo d'Airbus Helicopters | |
Création | 15 novembre 1989 |
---|---|
Fondateurs | Société nationale industrielle aérospatiale et Messerschmitt-Bölkow-Blohm |
Forme juridique | SAS |
Slogan | We make it fly |
Siège social | Marignane France |
Direction | Bruno Even (CEO) |
Actionnaires | Airbus |
Activité | Conception, fabrication et maintenance d'hélicoptères |
Produits | Liste non exhaustive[1] |
Société mère | Airbus |
Effectif | 9406 (moyenne 2016) |
Site web | airbushelicopters.com |
Fonds propres | 1.408 M€ (fin 2016) |
Chiffre d'affaires | 2 968 M€ en 2016 |
Résultat net | 216 M€ (perte 2016) |
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Airbus Helicopters est le premier fabricant d'hélicoptères civils au monde et l'un des principaux constructeurs d'hélicoptères militaires. Il fut créé sous le nom d'Eurocopter en 1992 à partir de la fusion des divisions hélicoptères de l'entreprise française Aérospatiale (SNIAS) et de l'entreprise allemande Deutsche Aerospace (DASA).
Employant environ 22 000 personnes à travers le monde, Airbus Helicopters est le premier hélicoptériste mondial, avec un chiffre d'affaires de 6,3 milliards d'euros. Sa flotte compte actuellement 12 000 appareils opérés par plus de 3 000 clients dans environ 150 pays. Airbus Helicopters est fortement présent à l'international grâce à ses filiales et participations implantées dans 24 pays[2] et à un réseau mondial de centres de maintenance, de centres de formation, de distributeurs et d'agents agréés.
La gamme d'hélicoptères civils et militaires d'Airbus Helicopters est la plus grande au monde et représente un tiers de la flotte d'hélicoptères civils et parapublics en service dans le monde. Pour l'année 2015, les prises de commandes de la division hélicoptères du groupe Airbus group sont de 6,168 Mds € (pour 5,469 Mds € en 2014) et le carnet de commande totalise 11 769 Mds € au 31 décembre[3]. La priorité du Groupe est « d'assurer le plus haut niveau de sécurité aux milliers de personnes qui, chaque année, accomplissent plus de 3 millions d'heures de vol à bord de ses hélicoptères »[4].
Le siège de la société est installé dans le sud de la France à Marignane, près de Marseille, où elle possède son principal site de production en France, l'autre se situant à Dugny, près de Paris. La société est également installée en Allemagne, à Donauwörth (Bavière) et en Espagne, à Albacete (Castille-La Manche). La société possède de nombreuses filiales à travers le monde, notamment aux États-Unis où American Eurocopter produit les modèles pour le marché américain, entre autres l'UH-72A Lakota , et en Australie où elles produisent les versions australiennes du Tigre et du NH90.
Airbus Helicopters est une filiale détenue à 100 % par Airbus Group. Le 1er avril 2018, Bruno Even a pris la tête de l'entreprise, succédant ainsi à Guillaume Faury (qui avait été nommé le 1er mai 2013), qui succédait lui à l'Allemand Lutz Bertling nommé le 31 octobre 2006, lui-même successeur de Fabrice Brégier. C'est le , lors d'une restructuration et d'une réorganisation plus large du groupe[5], que la filiale changeait de nom : Eurocopter devenait Airbus Helicopters.
Après la Seconde Guerre mondiale, de nombreux programmes d'étude français sont lancés afin de développer des modèles d'hélicoptères nationaux et de ne pas être dépendant des États-Unis. Cinq bureaux d'études sont alors actifs dans le domaine des hélicoptères parmi lesquels la Société nationale des constructions aéronautiques du sud-est (SNCASE), qui met au point la série des SE 3000 et la première Alouette, et la Société nationale des constructions aéronautiques du sud-ouest (SNCASO), qui remporte un premier succès technique avec le Djinn, un hélicoptère à réaction qui utilisait une turbine fabriquée par l'entreprise Turbomeca. C'est cependant l'Alouette II qui, en 1956, concrétise cette innovation radicale et devient le premier hélicoptère à turbine mécanique industrialisé au monde. Dans la foulée de ce développement, la SNCASO et la SNCASE fusionnent, en 1957, pour former société nationale de constructions aéronautiques Sud-Aviation (plus connue sous le nom de Sud-Aviation).
L'entreprise va alors s'employer à élargir sa gamme, en cherchant à se doter d'hélicoptères militaires lourds et d'hélicoptères de transport civil. Les premiers sont destinés à remplacer les hélicoptères américains (Vertol) ou fabriqués sous licence (Sikorsky S-58) utilisés en Algérie. Les seconds ont vocation à investir un marché civil considéré, à l'époque, comme particulièrement prometteur. Cette période est marquée par les revers techniques sur le Frelon, que l'entreprise ne parvient pas à mettre au point, et l'échec commercial du Super Frelon, fruit d'un partenariat avec Sikorsky qui a accepté un transfert de technologie. L'entreprise continue toutefois à développer sa gamme des hélicoptères moyens, avec notamment l'Alouette III et le Lama.
Les années 1960 et 1970 connaissent une forte croissance des marchés militaires, avec notamment l'utilisation à grande échelle des hélicoptères par les Américains lors de la guerre du Viêt Nam ; Sud-Aviation met alors en place deux coopérations :
En 1970, Sud-Aviation fusionne avec Nord-Aviation et la Société pour l'étude et la réalisation d'engins balistiques (SEREB) pour créer la Société Nationale Industrielle Aérospatiale (SNIAS). Son nom est réduit en Aérospatiale en mars 1978. Cette période marque une réorientation vers les marchés civils, en fort développement tout au long des années 1970, avec les hélicoptères Écureuil, Dauphin et Super Puma. Portée par la croissance du marché américain, la filiale américaine AHC est créée en 1974 et s'engage dans de lourds investissements commerciaux et technologiques. Elle obtient notamment un contrat avec l'United States Coast Guard concernant le AS365 Dauphin, qui entraîne des pertes très importantes pour l'entreprise. Ce développement des marchés civils conduit la division Hélicoptères de l'Aérospatiale à mettre en œuvre des restructurations pour faire baisser les coûts. Elles se poursuivent dans les années 1980 avec le retournement des marchés civils et les pertes sur le marché américain qui conduisent à une grave crise financière que la baisse des dépenses militaires à partir de la fin des années 1980 va encore aggraver.
L'entreprise va alors réagir en lançant une troisième génération de produits avec les hélicoptères AS350 Écureuil, Panther et Cougar, qui procèdent d'innovations incrémentales à partir des programmes civils.
De côté allemand, Messerschmitt-Bölkow-Blohm (MBB), qui est le principal acteur national dans la conception et la production d'hélicoptères depuis les années 60 développe différents modèles de petit et moyen gabarit destinés principalement à l'exportation. L'entreprise, elle-même formée par fusion-acquisition est intégré au groupe Deutsche Aerospace AG (DASA) en 1989 et devient une division spécifique du groupe aéronautique.
Trois ans plus tard, la division Hélicoptère de l'Aérospatiale fusionne avec son partenaire allemand pour créer Eurocopter, filiale à 100 % d'EADS qui réalise différentes coopérations majeures telles que l'hélicoptère de combat Tigre, ou plus larges, avec les Allemands, les Français, les Italiens et les Hollandais, pour le programme européen d'hélicoptère de transport NH90.
Le site de Marignane est choisi pour être le siège social de la nouvelle entreprise. Ce site emploie environ 6 638 personnes ; c'est le plus gros employeur industriel de la région PACA, il génère environ 20 000 emplois indirects dans la région[6].
En 2011, la société annonce le déménagement du site de La Courneuve, ouvert en 1917, vers les terrains de l'ancienne BA 104 à Dugny en bordure des pistes de l'aéroport du Bourget. Le nouveau site ouvre fin 2014 sur 60 000 m2 en rapprochant la recherche, les entreprises et la formation ; une partie des employés du centre de Suresnes travaillant sur les activités liées aux matériaux composites rejoindra Dugny pour créer un centre d'excellence dédié aux pales nouvelle génération[7].
En 2012, l'Union européenne a approuvé un prêt de 143 millions d'euros de l'État français à Airbus Helicopters, la nouvelle division du groupe Airbus pour développer le X4. La recherche industrielle est de 14,5 % du total, et le développement expérimental est de 85,5 %. Le prêt doit être remboursé lorsqu'une certaine cible de vente est atteinte, et des ventes supplémentaires signifient des redevances supplémentaires à l'État[8].
En 2010, des contrats comprenant la fabrication de 45 hélicoptères par Eurocopter sont signés entre les gouvernements français et kazaks. Toutefois, d'après des informations obtenues en 2014 par la justice française, ces marchés sont susceptibles d'avoir donné lieu au versement en France d'importantes rétrocommissions. Jean-François Étienne des Rosaies, conseiller du président Nicolas Sarkozy et Nathalie Gonzalez-Prado, chargée de mission du secrétaire général de l'Élysée Claude Guéant, sont placés en garde à vue tandis que des perquisitions sont menées au siège d'Eurocopter. En outre, le gouvernement français aurait accepté en contrepartie de ces contrats d’intercéder en faveur de trois oligarques poursuivis en Belgique (qui bénéficieront d'une loi d’exception)[9].
Logo d'Airbus Helicopters depuis juin 2017[10].
Airbus Helicopters et ses sociétés fondatrices fabriquent ou ont fabriqué de nombreux modèles d'hélicoptères ; le tableau suivant, non-exhaustif, intègre des modèles non conçus par Eurocopter/Airbus Helicopters mais dont la production, la maintenance et la réparation lui incombent à la suite des fusions et absorptions qui ont jalonné son histoire.
Les modèles dont la nomenclature est EC possèdent une grille de lecture simple de leurs caractéristiques techniques, lisible via leur numérotation :
Par exemple :
La légende constructeur est accolée sans espace à la légende des classes de tonnage + motorisation (par exemple : EC135). Le nom d'appareil et la version sont séparés par un espace (par exemple : AS350 B2).
Légende des constructeurs dans les nomenclatures :
Légende des classes de tonnage :
Légende des motorisations :
Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.
Désignation initiale | 1er vol | Commandes | Classe / Poids charge max. | Nombre de
Turbines |
Nomenclature civile | Nom civil | Nomenclatures militaires | Noms militaires | Nouvelles nomenclatures Airbus
civile / militaire [11] |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
H160 ( X4 ) | 13/06/2015 | NC | M / 6 tonnes | 2 T | H160 | - | version militaire prévue en 2024 | / | H160 |
H175 * | 04/12/2009 | 144 | M / 7,8 tonnes | 2 T | H175 | - | sans version militaire | / | H175 |
EC130 | 21/06/1999 | >700 | L / 2,4 tonnes | 1 T | H130 | - | sans version militaire | / | H130 |
H145 | 12/06/1999 | ~400 | L / 3,6 tonnes | 2 T | H145 | - | EC645, H145M UH-72 |
- Lakota |
H145/ H145M |
NH90 | 18/12/1995 | >300 | M / 10,6 tonnes | 2 T | sans version civile | / | NH90 * / MRH90 | Taipan, Caïman, Sea Lion | - |
EC120 | 09/06/1995 | >550 | L / 1,7 tonne | 1 T | EC120 | Colibri | EC120 | Colibri | H120 |
H135 ( X2 ) | 15/12/1994 | >1220 | L / 2,9 tonnes | 2 T | H135 | - | EC635, H135M | - | H135 / H135M |
Tigre / Tiger | 27/04/1991 | 169 | M / 6 tonnes | 2 T | sans version civile | / | EC665
UHT / HAP ARH / HAD |
Tigre / Tiger | - |
BK117 | 13/06/1979 | 443 | L / 3,3 tonnes | 2 T | BK117 | - | sans version militaire | / | - |
SA330 * | 15/04/1965 | 1687 toutes versions | M / 7 tonnes | 2 T | SA330 | Puma | SA330 | Puma | - |
13/09/1978 | M / 9,1 tonnes | 2 T | AS332 | Super Puma | AS532 | Cougar | H215 / H215M | ||
27/11/2000 | M / 11,2 tonnes | 2 T | H225 | Super
Puma |
H225M | Caracal | H225 / H225M | ||
SA360 | 02/06/1972 | > 1 100 toutes versions | M / 3,9 tonnes | 1 T | AS360 | Dauphin | sans version militaire | / | - |
24/01/1975 | M / 4,2 tonnes | 2 T | SA365 | Dauphin 2 | AS365
HH65 |
Dauphin2, Dolphin | - | ||
17/06/1997 | M / 4,9 tonnes | 2 T | H155 | AS565 | Panther | H155 / AS565 MBe | |||
AS350 | 27/06/1974 | ~ 100 | L / 2,2 tonnes | 1 T | AS350 | Écureuil | AS550 | Fennec | - |
28/09/1979 | > 5000 | L / 2,5 tonnes | 2 T | AS355 | Écureuil | AS555 | Fennec | H125M | |
SA340 * | 07/04/1967 | >1 775 toutes versions | L / 1,8 tonne | 1 T | SA341 | Gazelle | SA341 | Gazelle | - |
07/04/1967 | L / 1,9 tonne | 1 T | SA342 | Gazelle | SA342 | Gazelle | - | ||
BO105 | 16/02/1967 | > 1 400 | L / 2,5 tonnes | 2 T | BO105 | - | BO105 | VBH/PAH-1 | - |
SA321 | 07/12/1962 | 99 | H / 13 tonnes | 3 T | SA321 | Super Frelon | SA321 | Super Frelon | - |
SA316 | 28/02/1959 | ~ 1 500 toutes versions | L / 2,2 tonnes | 1 T | SE3160 | Alouette III, Chetak | SE3160 | Alouette III, Chetak |
- |
28/02/1959 | L / 2,2 tonnes | 1 T | SA319 | Alouette III | SA319 | Alouette III | - | ||
SA315 | 11/03/1958 | 383 | L / 1,6 tonne | 1 T | SE3150 | Lama | SE3150 | Lama | - |
SA318 | 12/03/1955 | 1 305 toutes versions | L / 1,6 tonne | 1 T | SA3130 | Alouette II | SA330 | Alouette II | - |
31/01/1961 | L / 1,6 tonne | 1 T | SA3180 | Alouette II | SA3380 | Alouette II | - |
*. En collaboration avec Westland Helicopters, Agusta ou AgustaWestland.
Le rotor principal des hélicoptères d'origine française, fabriqués initialement par Sud-Aviation et motorisés par Turbomeca, tourne dans le sens horaire (vu du dessus). Cela entraîne un mouvement de correction du pied droit par le pilote[12], à l'opposé des appareils dont le rotor principal tourne dans le sens antihoraire (voir pilotage). Ce qui est le cas pour les modèles d'origine allemande, comme les EC135 et les EC145 (ou BK117), dont le rotor principal tourne dans le sens antihoraire (vu du dessus). Le NH90, hélicoptère d'origine multinational, produit par la coentreprise NHIndustries et motorisé par un moteur coproduit par Rolls-Royce et Turbomeca, possède un rotor principal tournant dans le sens antihoraire.
Le fenestron, un rotor de queue intégré dans la carène verticale de la queue de l'appareil, développé dans les années 1960 par Sud-Aviation (pour l'historique des fusions, voir : Aérospatiale), est une autre caractéristique spécifique à nombre d'hélicoptères légers de ce constructeur. Il permet :
Au cours des années 1970, Sud-Aviation introduit les rotors rigides en matériaux composites (technologie de moyeu STARFLEX et SPHERIFLEX) permettant l’articulation des pales grâce à la flexibilité naturelle des matériaux. Ce type de rotor est plus léger, moins cher à produire et à maintenir[13].
En 2010, Airbus Helicopters, voulant rendre ses hélicoptères les plus silencieux possible, a dévoilé de nouvelles générations de pales faisant entre deux et trois fois moins de bruit que la génération précédente. La technologie, appelée Blue Pulse, combinée à une autre, appelée Blue Edge, qui consiste à rajouter des battants en bouts de pales, permettrait de considérablement réduire l'effet vortex responsable du bruit habituel engendré par les hélicoptères[14].
En 2011, lors du salon aéronautique du Bourget, Airbus Helicopters a présenté son dernier démonstrateur aérien, le X3, qui combine la capacité de décollage vertical avec charge de l'hélicoptère et la vitesse d'un aéronef avec ailes.
Airbus Helicopters possède un portefeuille d'environ 2 500 brevets[15], ainsi qu'une longue tradition d'innovations qui permet à ses hélicoptères de détenir de nombreux records mondiaux :
En 2016, Airbus Helicopters domine le marché des hélicoptères civils avec 47 % des livraisons sur le marché mondial des hélicoptères civils et parapublics (police et services d'urgence), en hausse de 2 % par rapport à l'année précédente, soit 255 des 540 hélicoptères livré en 2016 (contre 627 hélicoptères en 2015) ; Airbus devance ainsi ses principaux rivaux : l'Italien Leonardo avec 20 % de parts de marché et l'Américain Bell passé à 18 % de PDM[19]. En 2012, la filiale hélicoptériste d'Airbus Group avait augmenté son chiffre d'affaires de 15 % par rapport à 2011, atteignant un record de ventes à 6,3 milliards d'euros. Une réussite qui s'expliquait par la stratégie mise en place dans les services, dont la part dans le chiffre d'affaires global s'était élevée l'année d'avant à 42 % (38 % un an plus tôt), s'affirmant comme un fournisseur de solutions globales pour les missions héliportées[20].
Sur le marché militaire, l'hélicoptériste européen arrive en 3e position avec 9 % de parts de marché (pour un marché de 698 appareils en 2015), derrière les Américains Sikorsky et Boeing. Les prises de commandes totales (civil et militaire) en 2016 portent sur 353 appareils et Airbus dispose d'un carnet de commandes totalisant 766 appareils contre 832 un an plus tôt. 2016 marque également un tournant avec la part du militaire dans le chiffre d’affaires qui dépasse pour la première fois celle du civil (57 % en 2016 contre 50 % en 2015) ; cela s'explique par une stabilité du marché des hélicoptères destinés aux entreprises pétrolières (notamment suite à l'accident du vol 241 CHC Helikopter Service (en)) et une année 2016 jugée comme la « la plus difficile de la décennie pour l'industrie de l'hélicoptère dans son ensemble » selon Guillaume Faury[19].
En 2013, les nouvelles commandes représentent 5,8 Mds €, pour un carnet de commandes total de 995 appareils, soit 12,4 Mds €[21]. En 2014, la valeur des appareils à livrer reste stable à 12,3 Mds € mais elle diminue en 2015 à 11,7 Mds[3], avec 402 commandes prises dans l'année dont une majorité de petits appareils H120, H125 et H130[22]. En 2017, Airbus Helicopters reste leader sur le marché des appareils civil avec 520 hélicoptères livrés en 2017 ; cependant le nombre de commande prises dans l'année a diminué passant de 353 (en 2016) à 335 ; idem pour les livraisons passées de 418 (en 2016) à 409[23].
Années | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Chiffre d'affaires | 4,830 | 5,415 | 6,264 | 6,297 | 6,524 | 6,786 | 6,652 |
EBIT | 0,183 | 0,259 | 0,309 | 0,397 | 0,413 | 0,427 | 0,308 |
Capitaux propres | - | - | - | - | 1,387 | 1,590 | 1,399 |
Commandes (dans l'année) | 4,316 | 4,679 | 5,392 | 5,775 | 5,469 | 6,168 | 6,100 |
Carnet de commande (au 31/12) | 14,550 | 13,814 | 12,942 | 12,420 | 12,227 | 11,769 | 11,300 |
Les données financières ajustées étant issues des rapports annuels, la comparaison entre les années est difficile. Notamment, les chiffres sont en euros courants et les périmètres de consolidation varient. |
Nom | Années |
---|---|
Jean-François Bigay | 1992 à 1998 |
Patrick Gavin | 1998 à 2000 |
Jean-François Bigay | 2000 à 2003 |
Fabrice Brégier | 2003 à 2006 |
Lutz Bertling | 2006 à 2013 |
Guillaume Faury | 2013 à 2018 |
Bruno Even | Depuis 2018 |
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