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Simplified planetary gear animation.
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En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
Le train épicycloïdal est un dispositif de transmission mécanique[1]. Il a la particularité d'avoir deux degrés de mobilité, comme le différentiel, c’est-à-dire qu'il associe trois arbres ayant des vitesses de rotation différentes avec une seule relation mathématique : il faut fixer les vitesses de deux des arbres pour connaître celle du troisième.
Ces trains sont souvent utilisés pour la réduction de vitesse du fait des grands rapports de réduction que cette configuration autorise, à compacité égale avec un engrenage simple. On trouve de tels réducteurs en particulier dans les boîtes de vitesses automatiques, les moteurs de véhicules hybrides (système Hybrid Synergy Drive de Toyota), le moyeu à vitesses intégrées des vélos, les motoréducteurs électriques, les winchs et les boites de vitesses robotisées à double embrayage.
Généralement constitué d'engrenages (il peut s'agir aussi de systèmes à friction), un train épicycloïdal comporte les éléments suivants :
Le terme épicycloïdal vient de la trajectoire suivant une épicycloïde d'un point des satellites observé par rapport au planétaire intérieur. On observe cependant une hypocycloïde si la référence du mouvement est le planétaire extérieur, qui est souvent fixe dans les réducteurs. Cela correspond donc exactement à ce que voit l'observateur qui regarde évoluer un satellite.
Trajectoire épicycloïdale d'un point attaché à un satellite par rapport au planétaire intérieur[2].
Trajectoire en hypocycloïde d'une dent d'un satellite vue depuis le planétaire extérieur[2].
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Dans le cas des trains parallèles, les deux planétaires engrenant avec les satellites peuvent être situés autour (cas des planétaires extérieurs), ou au centre (cas des planétaires intérieurs). Il en résulte 4 configurations:
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Dans tous les cas, les planétaires et le porte satellites ont un axe de rotation commun.
Si le satellite est immobile par rapport au porte satellite, les deux planétaires ont la même vitesse de rotation. Lorsque les planétaires se décalent en vitesse, le satellite tourne tout en transmettant la puissance.
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C'est pour cette application[Laquelle ?] qu'on utilise principalement les trains épicycloïdaux. Ils sont présents dans les boîtes de vitesses automatiques, et dans de nombreux réducteurs accouplés aux moteurs électriques. Ils figurent d'ailleurs dans les mêmes catalogues que ces derniers. Leur géométrie donne un arbre de sortie coaxial à l'arbre d'entrée, ce qui en facilite la mise en œuvre. Ils ont enfin une grande aptitude à la réduction de vitesse. En général on dispose trois satellites sur le porte satellite. Ainsi, les efforts dans les engrenages ne sont pas repris par les paliers. De ce fait ces réducteurs sont très adaptés à la transmission de couples importants.
Ces mêmes dispositifs sont parfois utilisés en multiplicateur, comme sur les éoliennes. Là encore, c'est leur compacité et l'absence d'effort radial induit dans les paliers des arbres d'entrée et de sortie qui en justifie l'emploi. C'est grâce aux améliorations apportées par Mitsubishi Denki Kabushiki Kaisha en 1982, et les brevet de la société Aisin dès 1996 que GKN et Toyota ont pu développer un système hybride en grande série[réf. nécessaire].
À partir du train le plus simple (type I), on élimine une mobilité en fixant le planétaire extérieur, qu'on appelle aussi couronne.
L'arbre d'entrée, en tournant, force le satellite à rouler à l'intérieur de la couronne. Dans son mouvement, celui-ci entraîne le porte satellite comme s'il s'agissait d'une manivelle. Le porte-satellites constitue l'arbre de sortie du dispositif. Dans cette configuration la sortie tourne dans le même sens et moins vite que l'entrée.
où :
Dans le cas présent, le rapport de transmission est donc :
La considération des conditions de non glissement dans les engrenages :
et des propriétés de la liaison pivot entre le satellite et son support donne de plus les relations :
Tous les éléments étant animés d'un mouvement de rotation (permanente ou instantanée) par rapport à 1, on peut écrire les lois de répartition des vitesses, ou champs des vitesses, avec la formule de composition des vitesses. En particulier:
soit :
On peut donc extraire l'expression du rapport :
Dans un engrenage standard, les diamètres sont proportionnels aux nombres de dents (Z) des pignons. En posant la relation de Chasles , avec OI le rayon primitif du planétaire d'entrée, et IA le rayon primitif du satellite, l'expression du rapport de transmission devient :
Avec :
Par exemple un planétaire de 11 dents attaquant un satellite de 22 dents, donc deux fois plus gros, constitue un réducteur avec un rapport de réduction de 6. Cela est possible avec un engrenage classique que si la roue réceptrice est 6 fois plus grosse que le pignon d'attaque. À titre de comparaison, si on prend un engrenage classique avec le même pignon d'attaque (à 11 dents) l'encombrement radial de ce réducteur est de 77 dents (11+66) alors que le train épicycloïdal n'occupe que 55 dents (11+2×22), sans compter les problèmes de guidage liés aux efforts induits.
Le résultat précédent peut-être retrouvé à l'aide de la formule de Willis:
Avec :
Ces réducteurs sont souvent constitués de plusieurs trains épicycloïdaux mis en cascade. L'arbre de sortie d'un réducteur devient l'arbre d'entrée du suivant. Le rapport global étant alors le produit des rapports intermédiaires, on obtient dès 3 étages, des réductions dans un rapport supérieur à 100, et atteignant facilement 1000 dès le quatrième étage. Par exemple, avec 4 étages au rapport 1/6e, on obtient une réduction de 1296.
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