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Azote (29631 views - Periodic Table Of Elements)

L'azote est l'élément chimique de numéro atomique 7, de symbole N (du latin nitrogenium). C'est la tête de file du groupe des pnictogènes. Dans le langage courant, l'azote désigne le corps simple N2 (diazote), constituant majoritaire de l'atmosphère terrestre, représentant presque les 4/5e de l'air (78,06 %, en volume). L'azote est le 34e élément constituant la croûte terrestre par ordre d'importance. Les minéraux contenant de l'azote sont essentiellement les nitrates, notamment le nitrate de potassium KNO3 (constituant du salpêtre) ou nitre, qui servait autrefois à faire des poudres explosives, et le nitrate de sodium NaNO3 (constituant du salpêtre du Chili).
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Azote

Azote

Cet article concerne l'élément chimique. Pour le corps simple N2, voir Diazote.
Azote
Azote liquide dans un bécher.
CarboneAzoteOxygène
 
 
7
N
 
               
               
                                   
                                   
                                                               
                                                               
   
                                           
N
P
Tableau completTableau étendu
Informations générales
Nom, symbole, numéro Azote, N, 7
Famille d'élémentsNon-métal
Groupe, période, bloc 15, 2, p
Masse volumique1,24982 g·l-1[1]
CouleurIncolore
No CAS17778-88-0 (atome)
7727-37-9 (molécule)
No EINECS231-783-9
Propriétés atomiques
Masse atomique14,0067 ± 0,0002 u[1]
Rayon atomique (calc)65 pm (56 pm)
Rayon de covalence71 ± 1 pm[2]
Rayon de van der Waals150 pm[3]
Configuration électronique[He] 2s2 2p3
Électrons par niveau d’énergie2, 5
État(s) d’oxydation-3, 0, +2, +3, +4, +5
OxydeAcide fort
Système cristallinHexagonal
Propriétés physiques
État ordinaireGaz
Point de fusion-210,00 °C[1]
Point d’ébullition-195,798 °C[1]
Énergie de fusion0,3604 kJ·mol-1
Énergie de vaporisation2,7928 kJ·mol-1
Température critique-146,94 °C[1]
Volume molaire22,414×10-3 m3·mol-1
Vitesse du son334,5 m·s-1 à 20 °C
Divers
Électronégativité (Pauling)3,04
Chaleur massique1 040 J·kg-1·K-1
Conductivité thermique0,02598 W·m-1·K-1
Énergies d’ionisation[4]
1re : 14,5341 eV 2e : 29,6013 eV
3e : 47,44924 eV 4e : 77,4735 eV
5e : 97,8902 eV 6e : 552,0718 eV
7e : 667,046 eV
Isotopes les plus stables
Iso AN Période MD Ed PD
MeV
13N{syn.}9,965 minε2,2213C
14N99,634 %stable avec 7 neutrons
15N0,366 %stable avec 8 neutrons
16N{syn.}7,13 sβ-10,41916O
Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.

L'azote est l'élément chimique de numéro atomique 7, de symbole N (du latin nitrogenium). C'est la tête de file du groupe des pnictogènes. Dans le langage courant, l'azote désigne le corps simple N2 (diazote), constituant majoritaire de l'atmosphère terrestre, représentant presque les 4/5e de l'air (78,06 %, en volume[a]).

L'azote est le 34e élément constituant la croûte terrestre par ordre d'importance.

Les minéraux contenant de l'azote sont essentiellement les nitrates, notamment le nitrate de potassium KNO3 (constituant du salpêtre) ou nitre, qui servait autrefois à faire des poudres explosives, et le nitrate de sodium NaNO3 (constituant du salpêtre du Chili).

Histoire

Nomenclature et origine

Antoine Lavoisier a choisi le nom azote, composé de a- (privatif) et du radical grec ζωτ- (« vivant ») et qui signifie donc « privé de vie », du fait que contrairement à l'oxygène il n'entretient pas la vie des animaux[5].

L'origine du symbole N est son nom latin nitrogenium qui provient du grec nitron gennan, ce qui signifie « formateur de salpêtre » (nitrate de potassium). Le terme anglais nitrogen a conservé cette racine pour désigner l'azote, alors que le terme français « nitrogène » n'est plus utilisé de nos jours.

Chronologie

Bien que des composés contenant l'élément chimique azote fussent connus depuis l'Antiquité, (par exemple le salpêtre, c'est-à-dire les nitrates de sodium et de potassium), le diazote ne fut isolé par Daniel Rutherford qu'en 1772, et indépendamment par Carl Wilhelm Scheele et Henry Cavendish.

Le protoxyde d'azote N2O fut également préparé par Joseph Priestley en 1772.

L'ammoniac NH3 fut préparé en 1774, également par J. Priestley.

Le premier composé accepteur - donneur faisant intervenir l'azote, H3N.BF3 fut préparé en 1809 par Louis Joseph Gay-Lussac.

Le premier composé présentant une liaison azote - halogène, le trichlorure d'azote NCl3 fut préparé par Pierre Louis Dulong qui perdit un œil et trois doigts en étudiant les propriétés de ce corps très instable et violemment explosif.

Isotopes

Article détaillé : Isotopes de l'azote.

L'azote possède 16 isotopes connus de nombre de masse variant de 10 à 25, ainsi qu'un isomère nucléaire, 11mN. Deux d'entre eux sont stables et présents dans la nature, l'azote 14 (14N) et l'azote 15 (15N), le premier représentant la quasi-totalité de l'azote présent (99,64 %). On assigne à l'azote une masse atomique standard de 14,0067 u. Tous les radioisotopes de l'azote ont une durée de vie courte, l'azote 13 (13N) ayant la demi-vie la plus longue, 9,965 minutes, tous les autres ayant une demi-vie inférieure à 7,15 secondes, et la plupart d'entre eux inférieure à 625 ms.

Entités contenant l'élément chimique azote

L'élément chimique azote est présent dans des entités ne contenant que l'élément chimique N et dans les composés de l'azote, à différents degrés d'oxydation.

Entités ne contenant que l'élément chimique N

Il existe plusieurs entités chimiques ne contenant que l'élément chimique azote, la molécule de diazote, l'atome, et deux ions de l'azote.

Le diazote

Le diazote N2 est la forme la plus courante d'entité ne contenant que l'élément chimique azote. La triple liaison liant les deux atomes est une des liaisons chimiques les plus fortes (avec le monoxyde de carbone CO). De ce fait, le diazote est cinétiquement inerte. C'est le composant le plus abondant de l'atmosphère terrestre. Industriellement, le diazote est obtenu par distillation de l'air ambiant.

Sa réactivité principale est la formation d'ammoniac par le procédé Haber

N2 (g) + 3H2 (g) → 2NH3 (g)

L'atome

Il peut être obtenu en laboratoire à partir de diazote sous faible pression (0,1 - 2 mmHg) en présence d'une décharge électrique. À sa formation succède pendant plusieurs minutes une pale lueur jaune. Celle-ci résulte de la désexcitation de N2* suite à la recombinaison de deux atomes N. Cette forme excitée de diazote peut être mise en évidence en présence de CO2. Il se forme alors CO et de l'oxygène atomique dans un état triplet.

Les ions de l'azote

Il existe deux ions stables de l'azote :

l'ion nitrure N3- qui n'existe que dans les solides (nitrures métalliques) ou dans les complexes métalliques.
l'ion azoture N3-, forme basique de l'acide azothydrique HN3 ; Il peut former aussi bien des sels inorganiques comme l'azoture de sodium NaN3 que des composés organiques substitués tel la zidovudine dans lesquels il se comporte généralement comme un pseudohalogénure.

Composés de l'azote

L'azote forme des composés avec de nombreux autres éléments chimiques. Il est présent dans des composés organiques et inorganiques. L'azote est une des composantes de nombreux minerais et de l'air. L'azote est un gaz.

Azote et hydrogène

Le principal composé comportant une des liaisons chimique N-H est l'ammoniac NH3. D'autres composés contiennent également cette liaison :

les ions ammonium NH4+
les ions amidure NH2-
les amines primaires RNH2 et secondaires R2NH
l'acide azothydrique HN3
l'hydrazine N2H4

et une grande famille de composés moins courants, les azanes et les azènes, comme le trans-diazène N2H2 et son isomère le 1,1-diazène, le triazène N3H3, le triazane N3H5, etc.

Azote et oxygène

Les oxydes d'azote

Huit oxydes d'azote sont connus[6]; Par nombre d'oxydation (moyen) croissant :

l'azoture de nitrosyle N4O découvert en 1993
le protoxyde de diazote N2O, communément appelé protoxyde d'azote
le monoxyde d'azote NO
le trioxyde de diazote N2O3
le dioxyde d'azote NO2
son dimère le tétraoxyde de diazote N2O4
pentaoxyde de diazote N2O5
le trioxyde d'azote NO3

Tous sont thermodynamiquement instables au regard de la décomposition en N2 et O2 à température ambiante.

Les oxoanions de l'azote

Les principaux oxoanions de l'azote, stables en milieu aqueux, sont les ions nitrate NO3- et nitrite NO2-. L'ion nitrate est la base conjuguée d'un acide fort, l'acide nitrique. L'ion nitrite est la base conjuguée d'un acide faible, l'acide nitreux. Ce dernier n'est pas stable et, dans l'eau, il se dismute en monoxyde d'azote (qui se réoxyde en dioxyde d'azote en présence d'air) et en ion nitrate.

Azote et halogène

Le plus stable des halogènures d'azote, NF3 ne fut préparé qu'en 1928, plus d'un siècle après le très instable trichlorure NCl3. Le tribromure d'azote NBr3, très explosif, ne fut isolé qu'en 1975. Le triiodure NI3 n'a jamais été isolé, mais son adduit I3N.NH3, solide noir hautement instable au choc et à la température, a été préparé en 1812. Des combinaisons comme N2F2 et bien d'autres existent également.

Azote et métaux

De nombreux azotures métalliques existent. Plusieurs voies de synthèse sont possibles :

La réaction entre le métal et le diazote à chaud

3Ca + N2 → Ca3N2

La réaction entre le métal et l'ammoniac à haute température

3Mg + 2NH3 → Mg3N2 + 3H2

La décomposition d'amidures

3Zn(NH2)2 → Zn3N2 + 3NH3

Des réactions de transfert

Al2O2 + 3C + N2 → 2AlN + 3CO
2ZrCl4 + 4H2 + N2 → 2ZrN + 8HCl

Exploitation et usages

Diazote

Aujourd'hui, l'azote gazeux ou diazote est généralement obtenu par liquéfaction de l'air, dont il est le principal constituant avec une concentration de 78,06 % en volume et de 75,5 % en masse[a]. La production mondiale est d'environ 150 millions de tonnes par an.

Article détaillé : diazote.

Le gaz diazote lui-même a en particulier les applications suivantes :

  • Emballage de denrées alimentaires (MAP): L'inertage des aliments emballés augmente leur durée de conservation en remplaçant l'air ambiant (contenant de l'oxygène) par de l'azote (pureté de 95 à 99,5 %)[7]* gaz « neutre » utilisé pour protéger (grâce à la constitution d'une atmosphère inerte confinée) des produits, des objets ou des contenants (citernes par exemple) dans l'industrie, les musées ou autres lieux : protection contre la corrosion, des insectes, champignons…
  • En biologie, l'azote liquide est utilisé comme milieu pour la congélation des cellules et pour le broyage manuel des tissus lors de l'extraction de l'ADN ou des protéines.
  • Gaz utilisé comme pesticide doux pour éliminer par asphyxie les vers du bois ou certains organismes (ex : Petite vrillette) ayant colonisé des objets anciens fragiles (cadres, sculptures et objets de bois, incunables, les parchemins, gravures, etc.) ;
  • Gaz de gonflage de pneumatiques. Bien que l'air contienne déjà 78 % d'azote (de diazote pour être plus précis), certains professionnels de l'aviation ou de la formule 1, (par exemple), augmentent cette proportion et gonflent les pneumatiques avec de l'azote presque pur. Ce gaz ayant la propriété d'être inerte et stable conserve une pression plus constante même en cas d'échauffement intense du pneumatique. Une polémique existe d'ailleurs quant à l'introduction de cette méthode pour les véhicules particuliers. En effet, ceux-ci sont soumis à des contraintes bien moindres ce qui rend la différence avec l'air moins notable. Par contre le gonflage devient payant et on lui reproche souvent d'avoir un prix non justifié (le gonflage à l'air est souvent gratuit et jugé satisfaisant). Ceux qui l'utilisent devraient avoir, en principe, à rectifier le gonflage plus rarement, mais ils doivent néanmoins contrôler les pressions régulièrement.
  • Gaz utile pour gonfler les accumulateurs hydrauliques en raison de sa passivité vis-à-vis des huiles.
  • Construction mécanique : Beaucoup de machines de découpe modernes fonctionnent avec un rayon laser, celui-ci nécessite de l'azote comme gaz moteur ou comme gaz d'inertage[7].
  • Agent de lutte contre les incendies : allié à 50 % d'argon et parfois avec du dioxyde de carbone, il est présent dans certaines installations d'extinction automatique à gaz protégeant des salles informatiques ou des stockages particuliers ne devant pas être endommagés par de la poudre ou de l'eau. Conservé dans des bonbonnes métalliques sous une pression d'environ 200 bars, il est libéré dans un local où un début d'incendie a été détecté. Le volume de diazote injecté remplace une partie de l'atmosphère de la pièce et entraine une chute du taux d'oxygène dans l'air. Le niveau généralement retenu de 15 % de comburant interrompt le phénomène de combustion sans effet létal sur la respiration humaine.
  • Métallurgie : l'azote est régulièrement injecté dans des fours de production de métaux hautement oxydables (p.ex. l'aluminium et ses alliages) pour en empêcher la réaction avec l'oxygène de l'air. Il est également utilisé pour éviter la corrosion lors de brasures (p.ex. brasure du cuivre)[7].
  • Azote liquide : agent réfrigérant.
Article connexe : Azote liquide.

Le diazote, contrairement aux gaz inhibiteurs chimiques halogénés et aux CFC ne présente a priori aucun effet nocif pour l'environnement (pas d'impact sur l'effet de serre, ni sur la couche d'ozone). Mais il requiert des réservoirs volumineux, des canalisations adaptées et des mesures constructives pour faire face à la détente brutale d'un équivalent de 40 à 50 % du volume protégé.

Danger du gaz diazote : l'utilisation de diazote pour créer des atmosphères confinées inertes est à l'origine de plusieurs morts par asphyxie, lorsqu'une personne pénètre sans s'en rendre compte dans une enceinte inertée ; il est nécessaire de vérifier la présence d'une proportion suffisante d'oxygène dans de tels espaces confinés avant d'y pénétrer, ou de s'équiper d'un appareil respiratoire autonome.

En plongée, l'azote contenu dans l'air respiré sous pression est à l'origine du phénomène de la narcose. La pression partielle d'azote devient en effet « toxique » pour l'organisme à partir de PpN2 = 3,6 bars et la narcose est réelle à PpN2 = 4,6 bars (soit une plongée à environ 50 m de profondeur). C'est aussi l'élément principal dictant la durée des paliers de décompression.

Usage des composés de l'azote

Article détaillé : cycle de l'Azote.

Paradoxalement, et malgré son nom, l'élément chimique « azote » est (avec le carbone, l'oxygène et l'hydrogène) un des composants principaux du vivant et des écosystèmes ainsi que des agrosystèmes. Il entre dans la composition des protéines (pour environ 15 %). L'azote est présent dans de très nombreux produits chimiques, dont certains pesticides dits à (« urées substituées »).

L'azote a été exploité et l'est encore en tant qu'engrais naturel dans l'urée animale (ou humaine) et le guano (excréments secs d'oiseau ou de chauve-souris), notamment au Chili, au Pérou, en Inde, en Bolivie, en Espagne, en Italie et en Russie. Le nitre (nitrate naturel minéral) était autrefois récolté pour produire la poudre à canon.

Aujourd'hui, ses composés sont essentiellement produits industriellement par synthèse chimique pour de nombreux usages, dont par exemple :

  • fertilisants agricoles (engrais) ; les sels d'ammonium sont absorbés par les plantes, qui sont alors forcées d'absorber plus d'eau (équilibre osmotique). Ces sels forcent ainsi la plante à grossir. Si d'autres minéraux sont présents en suffisance (phosphore, potassium en particulier) cet azote dope la croissance des plantes cultivées. De l'azote est pour cette raison utilisé sous forme de nitrate d'ammonium, NH4NO3, de sulfate d'ammonium, (NH4)2SO4, de monophosphate d'ammonium, NH4H2PO4, ou d'urée, CO(NH2)2. C'est aujourd'hui le principal usage de l'azote dans le monde, qui est également responsable d'une pollution généralisée (eutrophisation, dystrophisation) de l'environnement (eaux de nappes, estuaires, certains littoraux, avec l'apparition de vaste zones mortes dans les océans jugées très préoccupantes par l'ONU).
  • produits pharmaceutiques :
  • l'ammoniac NH3, utilisé comme matière première de production de polymères, d'explosifs, d'engrais, ou comme fluide réfrigérant dans certains installations industrielles ;
  • combustibles (l'hydrazine et autres dérivés comme combustibles de fusée) ;
  • explosifs (composés chimiques organiques qui possèdent plusieurs groupes -ONO2 ou -NO2 : dynamite) ;
  • gaz propulseurs pour bombes aérosols (N2O) ou aérographes ;
  • conservateur (nitrite de sodium, NaNO2, sous le numéro E E250) ;
  • azoture de sodium, utilisé pour gonfler instantanément les coussins gonflables de sécurité (d'une automobile par exemple) en cas de choc.

Bilan azoté

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La principale source d'azote alimentaire se retrouve dans les acides aminés. En effet les seuls organismes capables d'utiliser de l'azote atmosphérique sont les bactéries. Le bilan azoté est la seule manière connue de mesurer l'azote de manière non-invasive[réf. nécessaire]. En géologie par exemple, on irradie les cailloux pour quantifier la teneur en atome de certains éléments comme l'azote. Ceci n'est pas reproductible chez l'Homme pour des raisons éthiques.

Le bilan azoté est déduit en fonction des apports et des pertes en azote.

En pratique, le bilan azoté est estimé en fonction de l'excrétion urinaire d'urée selon deux formules :


1,2,3-Trichloropropane2-Ethoxyethanol2-Méthoxyéthanol2,4-Dinitrotoluène4,4'-Diaminodiphénylméthane41xx steelAcrylamideAL-6XNAlGaAlloy 20Aimant AlNiCoAlumelAluminiumAluminium alloyCuproaluminiumAluminium-lithium alloyAluminosilicateAmalgame (métallurgie)Dichromate d'ammoniumAnhydreAnthracèneArgentium sterling silverPentoxyde d'arsenicAnhydride arsénieuxBronze arséniéArsenical copperBabbitt (alloy)Bell metalPhtalate de benzyle et de butyleBérylliumBronze au bérylliumBillon (alliage)BirmabrightPhtalate de bis(2-éthylhexyle)BismanolBismuthBoraxAcide boriqueBoreLaitonBrightrayBritanniumArgent BritanniaBronzeBulat steelCalamine brassCalifornia Electronic Waste Recycling ActCarboneFonte (métallurgie)CelestriumACPEIPChinese silverChromelAcide chromiqueChromeChromium hydrideTrioxyde de chromeGoudron de houilleCobaltCobalt(II) acetateCarbonate de cobalt(II)Chlorure de cobalt(II)Nitrate de cobalt(II)Sulfate de cobalt(II)Colored goldConstantanCuivreCopper hydrideCopper–tungstenBronze de CorintheCrown goldAcier au creusetCunifeCupronickelCymbal alloysAcier de DamasAlliage de DevardaPhtalate de dibutyleDiisobutyl phthalateDoré bullionAlliages d'aluminium pour corroyage#Série 2000 (aluminium cuivre)Dutch metalFer douxÉlectrumElektronÉlinvarFernicoFerroalliagePierre à briquetFerrochromeFerromanganèseFerromolybdèneFerrosiliciumFerrotitaneFerrouraniumField's metalFlorentine bronzeGalfenolGalinstanGalliumLaiton rougeVerreGlucydurOrGoloidGuanín (bronze)Gum metalGunmetalHaynes InternationalHéliumHepatizonHexabromocyclododécaneChrome hexavalentHiduminiumAcier rapideHigh-strength low-alloy steelHigh-temperature insulation woolHydrateHydrazineHydrogèneHydronaliumInconelIndiumInternational Material Data SystemInvarFerHydrure de ferItalmaKanthalKovarPlombLead hydrogen arsenateChromate de plomb(II)LithiumMagnaliumMagnésiumMagnox (alloy)MangalloyManganinAcier maragingMarine grade stainlessMartensitic stainless steelMegalliumMaillechortMercuryMischmétalMolybdochalkosMonelMu-métalMuntz metalMushet steelMusk xyleneN-Méthyl-2-pyrrolidoneNichromeNickelHydrure de nickelMaillechortNitinolNicrosilNisilOr nordiqueOligomèreDorure#Dorure au mercurePermalloyAlliage plomb-étainBronze phosphoreuxAcide phtaliqueFonte brutePinchbeck (alloy)Poix (matière)Matière plastiquePlatinum sterlingPlexiglasPlutoniumAlliage plutonium-galliumPolybromobiphénylePolybromodiphénylétherPotassiumChromate de potassiumDichromate de potassiumPseudo palladiumQueen's metalEnregistrement, évaluation et autorisation des produits chimiquesDirective RoHSReynolds 531rhoditeRhodiumRose's metalSamariumAimant samarium-cobaltSanicro 28ScandiumScandium hydrideShakudōShibuichiArgentSilver steelSodiumChromate de sodiumDichromate de sodiumNaKSolderSpeculum metalSpiegeleisenSpring steelStaballoyAcier inoxydableAcierStellite (alliage)Argent sterlingStrontium chromateStructural steelSubstance of very high concernSupermalloySurgical stainless steelTerfenol-DTerneTibetan silverÉtainTitaneAlliage de titaneTitanium Beta CTitanium goldHydrure de titaneNitrure de titaneTombacAcier à outilsOxyde de tributylétainTrichloréthylèneTris(2-chloroethyl) phosphateTumbagaPlomb typographiqueUraniumHydrure d'uranium(III)VitalliumWaste Electrical and Electronic Equipment DirectiveAcier CortenWhite metalMétal de WoodWootzY alloyZamakZeron 100ZincZirconiumDioxyde de zirconiumZirconium hydrideOxygèneNéonFluorSiliciumPhosphorusSulfurChloreArgonCalciumVanadiumGermaniumArsenicSéléniumBromeKryptonXénonIodeTellureTechnétiumYttriumMolybdèneNiobiumStrontiumRubidiumCésiumBaryumLanthaneHafniumTantale (chimie)RhéniumTungstèneOsmiumIridiumPlatineMercure (chimie)ThalliumPoloniumAstateRadonFranciumRadiumActiniumRutherfordiumSeaborgiumBohriumHassiumMeitnériumDarmstadtiumRoentgeniumCoperniciumNihoniumFléroviumMoscoviumLivermoriumTennesseOganessonCériumPraséodymeNéodymeProméthiumEuropiumGadoliniumTerbiumDysprosiumHolmiumErbiumYtterbiumThuliumLutéciumThoriumProtactiniumNeptuniumAmériciumCuriumBerkéliumCaliforniumEinsteiniumFermiumMendéléviumNobéliumLawrenciumGraphèneÉlément chimique

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Periodic Table Of Elements

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