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Sony | |
Création | : Tōkyō Tsūshin Kōgyō (TTK) |
---|---|
Dates clés | 1958 : devient Sony. 1968 : lancement des téléviseurs Trinitron. 1979 : lancement du premier Walkman 1982 : lancement commercial du Compact Disc. 1994 : lancement de la PlayStation au Japon. 1995 : lancement commercial du DVD. 2006 : lancement officiel du Blu-ray |
Fondateurs | Akio Morita Masaru Ibuka |
Forme juridique | Kabushiki gaisha |
Action | TSE : 6758 NYSE : SNE |
Slogan | Be moved |
Siège social | 1-7-1 Konan Sony City (d) Minato Japon[1] |
Direction | Kazuo Hirai |
Actionnaires | Mondiale |
Activité | électronique, jeu vidéo, téléphonie, informatique, musique, cinéma et audiovisuel |
Produits | voir liste |
Filiales | entreprises de Sony Corporation |
Effectif | 131 700 (2015) |
Site web | sony.com |
Capitalisation | 42,6 Md d'euros en 2017 |
Fonds propres | 28,523 Md de dollars (2013)[2] |
Chiffre d’affaires | 72,349 Md de dollars (2013)[2] |
Résultat net | 458 M de dollars (2013)[2] |
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Sony Corporation (ソニー株式会社, Sonī kabushiki gaisha?, TYO: 6758, NYSE: SNE), est une société multinationale japonaise basée dans l'arrondissement de Minato, à Tokyo, Japon. Elle est active dans différents domaines tels que l'électronique, la téléphonie, l'informatique, le jeu vidéo, la musique, le cinéma et l'audiovisuel en général.
Sony Corporate comprend plus de cent sociétés à travers le monde, dont Sony France SA, Sony Corporation of America, Sony Music Entertainment, Sony Pictures Entertainment, Sony Computer Entertainment et est présent dans 183 pays (voir les entreprises de Sony Corporation).
La société a été créée le sous le nom de Tōkyō Tsūshin Kōgyō (東京通信工業?, TTK)[3] par Masaru Ibuka, ingénieur, et Akio Morita, physicien, embauchant une vingtaine de personnes dans une société qui réparait des équipements électroniques et qui tentait de créer ses propres produits.
Le nom Sony apparaît sur les produits dès 1955 mais la compagnie change de nom seulement en janvier 1958. Il provient du latin sonus qui signifie son, et de l'expression anglaise alors en vogue au Japon Sunny boy qui désigne une jeune personne à l'esprit libre et novateur.
Il faudra attendre 1954 pour que la société commence à se développer vraiment : à cette date, la société obtient une licence pour la fabrication de transistors, composant électronique de base par excellence. Ainsi, les premiers transistors japonais sortent des usines de Sony cette année-là, 6 ans après leur invention aux États-Unis. L'année suivante, Sony commercialise le premier récepteur radio entièrement à base de transistors[4].
Parmi les innovations importantes apportées par Sony, citons la cassette vidéo couleur en 1971, le magnétoscope Betamax en 1975, le Walkman en 1979, la disquette 3,5 pouces en 1984, un appareil photo électronique en 1981, le premier caméscope grand public en 1983, la vidéo 8 mm en 1988, le premier numériscope en 1985, ou encore le disque Blu-ray en 2006.
Au niveau des contenus, en 1987, Sony rachète CBS qui devient en 1991 Sony Music Entertainment, et en 1989 Columbia Pictures via Sony Pictures Entertainment.
Sony est une société internationale. Akio Morita a estimé dès le départ que sa société devait considérer le monde entier comme marché et non se limiter au Japon. Il insista pour que le nom Sony apparaisse clairement sur tous les produits de la société.
En 2004, le chiffre d'affaires pour l'ensemble des sociétés et filiales de Sony Corporation à travers le monde s'élève à près de 69 milliards d'euros. La part de Sony dans le marché mondial de l'électronique grand public a été estimée en 2004 à plus de 14 % (devant Panasonic, Hitachi et Philips). En , Sony et Samsung créent une coentreprise de fabrication de dalle LCD en Corée baptisée S-LCD[5].
Sony fabrique aussi des semi-conducteurs mais uniquement pour ses propres filiales. En 2005, Sony pointe ainsi à la 13e place des vingt plus grands fabricants de semi-conducteurs.
Le , l'Américain d'origine anglaise Howard Stringer est nommé président de Sony Corporation après la démission de Nobuyuki Idei. Le siège social se trouve à Tokyo au Japon. La société compte 158 500 salariés dans le monde au .
En , Sony a annoncé un profit net record de près de 2,4 milliards d'euros à la suite d'une année 2007 marquée par les belles performances de ses produits phares (CyberShot, Bravia, PlayStation, etc.) mais aussi la vente des chaînes de productions à Nagasaki de processeurs Cell et RSX à Toshiba et la cession du Sony Center de Berlin[6]. Le , Sony Corporation annonce une vague de licenciements touchant 8 000 employés d'ici l'année 2010, ainsi que la réduction de 30 % des investissements en recherche et développement pour faire face à la crise économique et à la chute des ventes notamment dans le secteur des écrans LCD[7].
Durant 2009, Sony cherche à se relancer : l'entreprise continue notamment son plan de restructuration en créant le Consumer, Professional & Devices Group, qui regroupe et les activités image et son, et le Networked Products & Services Group qui rassemble les branches jeux vidéo, informatique et services en ligne de Sony[8]. En décembre 2009, Sony prend une part de 7 % dans la filiale Sharp Display Product qui gère l'usine de fabrication de dalles LCD de dixième génération de Sharp à Sakai, part qui doit passer à 34 % en avril 2011[9]. Ce nouvel investissement n'a cependant jamais eu lieu, et en mai 2012, Sony annonce se désengager totalement de cette filiale[10].
L'an 2010 fut aussi une année charnière pour les différentes divisons du groupe; la 3D « relief » fait une entrée massive dans le catalogue des produits grand public de la marque (Bravia, PS3 etc.), des accords sont passés avec Google pour intégrer Android à divers systèmes (smartphone Xperia, Google TV...), annonce du rachat à Toshiba de l'usine de semi-conducteur de Nagasaki, pour doubler ses capacités de production de capteurs photos[11], et Sony Computer Entertainment redevient rentable grâce à la baisse des coûts de fabrications des consoles PlayStation[12].
Depuis 2010, la division électronique de Sony perd de l’argent[13].
L'année 2011 est l'occasion pour Sony d'élargir sa plateforme PlayStation Network, déjà bien implanté auprès du grand public, en lançant le service Qriocity[14], destiné aux divers produits de la marque, et notamment aux futures tablettes Android[15]. Cette même année, le "PSN" est mis hors ligne par des attaques DDoS ainsi que l'attaque mené par Lulzsec durant près d'un mois. Sony découvre des failles exposant les données personnelles des utilisateurs. Les utilisateurs découvrent aussi les manigances de Sony réalisées à l'aide du PSN (comme la récupération automatique de données personnelles). Le service, après sécurisation, reprendra partiellement le 15 mai[16]. L'entreprise japonaise doit aussi faire face au tremblement de terre du [17], à l'incendie d'une de ses plateformes logistiques en périphérie de Londres, lors des émeutes d'août[18], ainsi qu'aux inondations en Thaïlande paralysant ses sites de productions d'appareils photo[19]. Par ailleurs, le groupe annonce une restructuration de sa branche télévision, faisant suite à des ventes en baisse[20].
Le , Sony annonce un accord avec Hitachi, Toshiba et INCJ portant sur la mutualisation des moyens de productions de dalles LCD de petites et moyennes tailles sous la forme d'une nouvelle entreprise appelée Japan Display[21]. Le groupe annonce, le 27 octobre, le rachat des parts du suédois Ericsson dans leur coentreprise Sony Ericsson[22]. Le 26 décembre, Samsung Electronics annonce qu'elle rachète les parts de Sony dans leur coentreprise de fabrication de dalle LCD S-LCD pour 1 008 milliards de wons (671 millions d'euros)[23]. Fin , Sony et Panasonic annoncent qu'ils développent désormais ensemble leurs techniques de façonnage des écrans OLED (diode électroluminescente organique)[24].
Fin , Sony annonce d'importantes pertes et une éventuelle restructuration. La direction décide de se concentrer sur les secteurs qui rapportent.
Le , Sony annonce le rachat du service de jeu à la demande Gaikai pour un montant de 380 millions de dollars (environ 301 millions d’euros)[25].
En , Sony vend sa participation (de 13,14 %) dans DeNA pour 438 millions de dollars[26].
En , Sony sort la PlayStation 4, sa nouvelle console de salon. Dès sa sortie, les ventes sont très importantes et en sachant qu'elle rapporterait 18$ par unité aux États-Unis (coût de production d'environ 381$ pour un prix de vente de 399$), Sony espère redresser la barre au niveau financier de sa division responsable des jeux vidéo[réf. nécessaire].
Le , le Nihon Keizai Shinbun annonce que Sony va céder ses activités japonaises d'ordinateurs (marque Vaio) au fonds Japan Industrial Partners pour 40 à 50 milliards de yens (300 à 370 millions d'euros)[27]. Par ailleurs à la suite de cette cession le groupe prévoit de réduire ses effectifs de 5 000 employés dont 3 500 à l'étranger[28]. Japan Industrial Partners va créer pour cela le 1er juillet une nouvelle entreprise baptisée Vaio Corporation dont Sony sera actionnaire à hauteur de 5 %[29].
En , Sony annonce son intention de scinder ses activités dans les capteurs électroniques dans le but de donner plus autonomie et de visibilité à ces activités[30]. Le même mois, Toshiba vend ses activités dans les capteurs d'images à Sony pour 165 millions de dollars[31]. En janvier 2016, Sony acquiert l'entreprise israélienne Altair Semiconductor pour 212 millions de dollars[32]. En , Sony acquiert les 50 % qu'il ne détenait pas dans Sony/ATV Music Publishing pour 750 millions de dollars, société gérant les droits notamment des Beatles, de Taylor Swift ou d'Elvis Presley[33]. En , Murata Manufacturing acquiert Sony Energy Devices, filiale de Sony produisant des batteries pour appareils mobiles[34].
Le , Sony annonce en même temps que ses résultats financiers, l'abandon de tout développement concernant ses robots Aibo et Qrio pour se recentrer sur des segments plus rentables.
Sony est le cinquième plus grand conglomérat de médias américain avec 77,20 milliards de dollars[réf. nécessaire]
Données juin 2010[37] :
Sony possédait deux usines en France.
L'usine de Pontonx-sur-l'Adour dans les Landes, inaugurée le 26 septembre 1984[38], comptait 330 employés en 2008[39]. Spécialisée dans la fabrication de cassettes et bandes magnétiques, elle est fermée en 2009[39].
L'usine de Ribeauvillé en Alsace a été construite en 1986 et a compté jusqu'à 1600 salariés dans les années 1990. Elle produisait lecteurs CD, autoradios, magnétoscopes, ordinateurs portables et téléphones mobiles[40]. Après plusieurs plans sociaux l'usine compte désormais moins de 400 salariés et a été vendue au groupe Cordon Electronics en 2014[41]. Elle est depuis spécialisée dans les activités de service après vente des produits Sony, la production de sous-ensembles électroniques et l'ingénierie[41].
Sony France est inscrit comme représentant d'intérêts auprès de l'Assemblée nationale. L'entreprise déclare à ce titre qu'en 2015, les coûts annuels liés aux activités directes de représentation d'intérêts auprès du Parlement sont inférieurs à 10 000 euros[42].
Sony Europe est inscrit depuis 2008 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. Il déclare en 2015 pour cette activité 3 collaborateurs à temps plein et des dépenses d'un montant compris entre 600 000 et 700 000 euros[43].
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