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Porsche | |
Création | 1931 |
---|---|
Dates clés | 1938 : Porsche Type 64 1948 : Porsche 356 1963 : Porsche 911 |
Fondateurs | Ferdinand Porsche Ferry Porsche |
Forme juridique | Société européenne (AG) |
Slogan | There is no substitute |
Siège social | Porschestraße 1 Zuffenhausen, Stuttgart (Allemagne) |
Direction | Oliver Blume (Président du Directoire) Wolfgang Porsche (Président du Conseil de surveillance) |
Directeurs | Wolfgang Porsche (à partir de ) |
Actionnaires | Volkswagen AG (1 ) |
Activité | Automobile |
Produits | Véhicules sportifs et haut de gamme |
Société mère | Volkswagen AG |
Effectif | 19 500 (janvier 2014) |
Site web | www.porsche.com |
Chiffre d’affaires | 14,3 milliards d'euros (exercice 2013) |
Résultat net | 2,04 milliards d'euros (exercice 2011) |
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Porsche (prononcé en allemand : [ˈpɔʁʃə] Écouter) est un constructeur d'automobiles de luxe et de sport allemand. La société fut fondée en 1931 par Ferdinand Porsche, puis reprise par son fils Ferry Porsche. Ferdinand Porsche est l'ingénieur qui créa la première Volkswagen. Les principales usines du constructeur sont situées à Leipzig et à Zuffenhausen et comptaient plus de 17 000 salariés en 2012[1].
Porsche est le constructeur automobile le plus rentable de l'histoire. C'est chronologiquement la dixième marque[2] à avoir intégré le groupe Volkswagen AG[3]. En 2016, ses ventes mondiales se sont élevées à plus de 237 000 véhicules, en hausse par rapport à 2015.
Le capital du groupe Porsche, dont le siège social est situé à Zuffenhausen (un quartier de Stuttgart), est détenu pour moitié par les familles Porsche et Piëch. Elles possèdent la totalité des actions à droit de vote, les 60 % restant étant répartis entre actionnaires privés et institutionnels. La capitalisation boursière de la compagnie s'élève à 7,98 milliards d'euros en janvier 2009. Au 1er trimestre 2009, elle employait 12 774 salariés[4].
Fin 2009, lors de la crise financière, la firme ne parvint pas à refinancer un emprunt à court terme de 10 milliards de dollars contracté pour s'assurer le contrôle de Volkswagen : la firme la plus rentable de l'automobile était au bord de la faillite. C'est ainsi qu'à la suite d'un bras de fer d'un an, c'est finalement Porsche qui fut racheté par Volkswagen[5].
La toute première automobile de Porsche est la Lohner-Porsche, un véhicule hybride (essence-électrique) développé au tout début du XXe siècle par Ferdinand Porsche. Cette voiture fait sensation lors de sa présentation à l'exposition universelle de Paris en 1900[6]. La deuxième Porsche fut le modèle 64, disponible en 1938[7].
En 1933, Ferdinand Porsche répond à la demande de Hitler et développe un modèle d'automobile démocratique, qui sera commercialisé en 1938 sous le nom de « Volkswagen », « voiture du peuple ». Elle est connue en France sous le nom de Coccinelle.
Le troisième modèle de Porsche fut la 356, de 1948, qui était une Volkswagen Coccinelle modifiée. Elle était construite à Gmünd en Autriche, où la société avait été évacuée en 1944, mais qui après avoir construit quarante-neuf voitures retourna à Zuffenhausen. Ferdinand mourut peu après et c’est son fils Ferry Porsche qui prit les rênes. Les dernières 356 sortirent avec un quatre cylindres à plat totalement conçu par Porsche.
Ferdinand Porsche fut un constructeur d'armement au service de l'Allemagne Nazie. Il fut à l'origine de la conception de plusieurs chars allemands, dont le Jagdpanzer Elefant (nommé aussi Ferdinand, prénom de son fabricant), la Volkswagen Kübelwagen, un véhicule similaire à la Jeep Américaine et dérivé de la Coccinelle. Il présenta une étude sur un char lourd, le futur Tiger I, marché qui fut cependant remporté par Henschel, et une autre sur son successeur, le Tiger II, et, même si une nouvelle fois le marché fut remporté par Henschel, la tourelle type Porsche fut mise en production un moment le temps que celle d'Henschel, meilleure que celle de Porsche, soit produite. Porsche développa aussi un des projets de char super-lourd, le Maus, même s'il était dubitatif quant à son aboutissement. À la fin de la guerre, Ferdinand Porsche échappa de peu à un procès. Porsche n'a pas cessé sa production d'armement, la firme a par exemple été contactée pour la mise au point du successeur du Leopard I, le futur Leopard II.
Historiquement, la première ébauche de la 911 date de 1959. La version définitive, quant à elle, a été présentée au Salon automobile de Francfort en septembre 1963, sous le nom « 901 ». Cependant Peugeot ayant déposé tous les numéros comportant un zéro central, le nom fut abandonné au profit de l'actuelle désignation « 911 ». Elle se devait de garder un air de famille avec les 356, et cette première génération en reprend les principaux codes visuels. Mais dans le compartiment moteur, on a opté pour un six cylindres à plat de 2 litres, plus léger, refroidi par air, et toujours placé à l'arrière. Ainsi naquit la 911 qui, dès lors, n'a cessé d'évoluer avec son moteur « boxer » au couple enthousiasmant et au son particulier, que les amateurs affectionnent. Ce modèle reste la référence et le modèle le plus emblématique de la marque.
Depuis septembre 2005, Porsche a décidé d'augmenter sa part du capital dans la société Volkswagen, avec laquelle il a toujours entretenu des liens étroits (VW-Porsche 914, Audi RS2, Porsche 924). Le Porsche Cayenne partage d'ailleurs sa plateforme avec le VW Touareg. Cette participation s'est encore accrue en 2006, pour atteindre 27,4 % du capital, Porsche se réservant la possibilité de monter jusqu'à 29,9 % (dépasser le seuil des 30 % l'obligerait légalement à lancer une OPA). Au cours de l'été 2006, Porsche obtient l'autorisation de l'État allemand de prendre la minorité de blocage de Volkswagen, en prenant ainsi le contrôle[8].
Après avoir franchi les 30 % du capital, la marque de voitures de sport a été contrainte par la réglementation boursière de lancer une offre publique d'achat sur le reste du capital. Mais l'opération échoua, Porsche proposant délibérément un prix trop faible. Depuis août 2007, le groupe tente d'augmenter ses parts dans Volkswagen[9]. Porsche possédait 50,76 % des parts de Volkswagen à partir du 6 janvier 2009 et avait annoncé vouloir monter à 75 % d'ici la fin de l'année 2009[10].
En 2009, en tentant d'acquérir une majorité de contrôle dans Volkswagen, Porsche a accumulé une importante dette. Elle est incapable de respecter ses engagements financiers, car Volkswagen a vu son titre augmenter de façon appréciable au cours de l'année précédente, permettant à Porsche de réaliser un profit appréciable sur papier. Selon les lois fiscales allemandes, Porsche doit verser un impôt sur cette plus-value, montant en argent qu'elle ne possède pas. En juillet 2009, Porsche a accumulé des dettes dépassant 10 milliards d'euros. Pour éviter la faillite, Porsche a accepté les conditions posées par le Qatar Investment Authority, lequel injectera un important montant dans Porsche tout en l'obligeant à fusionner ses activités avec Volkswagen[11],[12],[13],[14]. — Cette fusion est annoncée le 5 juillet 2012 et est effective le 1er août 2012[15].
Le petit-fils de Ferdinand, Ferdinand Piëch, fut le président exécutif de Volkswagen, dont il est toujours le principal actionnaire en 2009. L’actuel est Martin Winterkorn précédemment chez Audi, Piëch ayant pris la présidence du conseil de surveillance (organe de contrôle plutôt que de direction) de Volkswagen.
Porsche a présenté, lors du Challenge Bibendum de mai 2011, un prototype de voiture électrique : le Boxster E, existant en plusieurs versions. Aucune date de commercialisation n'a été annoncée pour le moment, mais il est probable que des voitures électriques Porsche soient disponibles sur le marché dans un avenir « relativement proche »[16]. En 2015 au Salon de l'automobile de Francfort, est présenté un concept appelé « Mission E »[17]. C'est une berline à propulsion totalement électrique et se voulant très performante, avec un total de 600 ch. Elle est censée préfigurer la prochaine berline de la marque, et confirme l'orientation de Porsche vers les voitures électriques.
Après avoir introduit des motorisations hybrides sur plusieurs de ses modèles lors des dernières années (Panamera, Cayenne et 918 Spyder), Porsche a annoncé que la prochaine génération de 911 utiliserait cette technologie à partir de 2018[18].
Porsche a toujours engagé des GT classiques et obtenu de nombreuses victoires dans différentes catégories en endurance.
Chaque année, la Porsche Cup récompense le meilleur pilote privé utilisant une Porsche en compétition d'endurance et de grand tourisme.
En Formule 1, Porsche a fourni les moteurs pour McLaren de 1984 à 1987 (sous le nom TAG, Techniques d'Avant Garde).
La course d'endurance des 24 Heures du Mans a particulièrement bien réussi à Porsche puisqu'elle a été gagnée à 19 reprises par la marque, sans compter les victoires par catégories. Certaines Porsche d'endurance sont devenues célèbres comme la 917 qui, avec son douze cylindres à plat de 560 ch, faisait frissonner plus d'un concurrent.
Porsche débute au Mans en 1950 avec une victoire en catégorie S 1.1 sur la Porsche 356/4 SL. Durant toutes les années 1950, Porsche a très souvent gagné dans les catégories inférieures au Mans et lors du Championnat du Monde des Voitures de Sport, mais c'est à la fin des années 1960 que Porsche et sa 908 terminent dans le haut du classement et remportent en 1969 le Championnat du Monde des Voitures de Sport. En 1970, la 917K s'impose au Mans avec le Porsche KG Salzburg et remporte aussi le WSC avec la 917K, 917L et la 908/03.
En 1971, 1976, 1977, 1979 Porsche s'impose de nouveau avec la 917K, la 936 et une victoire surprenante en 1979 avec la 935 K3.
Porsche remporte le championnat du monde d'endurance à de nombreuses reprises, et dans plusieurs catégories durant les années 1970.
En 1980, la Porsche 908 sous les couleurs du Martini Racing et ultime favorite de l'édition 1980 au Mans, est battue par Jean Rondeau et sa Rondeau M379B. Après une nouvelle victoire en 1981 avec la Porsche 936, le Porsche System lance la Porsche 956. Véritable machine à gagner, la 956 écrase la concurrence, notamment Lancia. Victorieuse en 1982, 1983, Porsche boycotte les 24 heures du Mans 1984 pour contester contre une réglementation, mais la 956 du Team Joest remporte l'édition. De 1982 à 1986, la 956 remporte le WSC. En 1985, la nouvelle 962, une évolution de la 956, remporte l'édition 1986. La 956 continue sa carrière avec des équipes privées où plus de la moitié du plateau était composé de Porsche durant les années 1980.
L'année 1986 voit aussi la montée en puissance de Jaguar et en 1987 au Mans, le duel Jaguar-Porsche atteint son sommet. Porsche et sa 962 s'imposent au Mans et Jaguar remporte le championnat du monde de sport. En 1988, Jaguar prend sa revanche et remporte les 24H00 et le WSC avec la XJR-9. En 1988, Porsche participe à ses dernières 24 heures en tant qu"équipe d'usine. L'équipe Joest Racing et Porsche Kremer Racing continuent tout au long des années à la fin des années 80 débuts 90 à faire rouler des Porsche 962.
En 1994, et à la suite d'un changement de réglementation qui a vu le groupe C disparaître ainsi que Jaguar, Peugeot, Mazda, Toyota, Mercedes, Nissan, le Dauer Porsche, inscrit en GT1 se base sur une Porsche 962. Un modèle de série est fabriqué (obligatoire en GT1), et la renomme Dauer 962C. Cette voiture était un véritable prototype déguisé, poussant à l'extrême les limites du règlement en GT1. Après une grosse bagarre avec la Toyota 94 CV du Trust Racing, le Dauer Porsche s'impose aux 24 heures du Mans 1994 malgré un plateau à bout de souffle.
En 1996, Porsche annonce son grand retour et s'inscrit en catégorie GT1 qui prend de plus en plus d’ampleur. Mais c'est le Joest Racing qui s'impose au Mans en 1996 et 1997 avec la TWR Porsche WSC-95. La 911 GT1 rate la victoire à la suite d'un abandon en toute fin de course en 1997 alors qu'elle était en tête.
En 1998, Porsche fait évoluer la 911 GT1 et malgré des performances en retraits en qualification, Porsche et ses 911 GT1-98 très fiables profitent du manque de fiabilité des nouvelles Mercedes CLK-LM, Toyota GT-One et des BMW V12 pour réaliser un surprenant doublé. De 1996 à 1998, la 911 GT1 a également participé en FIA GT. En 1999, Porsche ne défend pas son titre. Avec une catégorie GT1 devenue trop chère (et qui laissera place au LMGTP), Porsche entre 1998 et 1999 développe la Porsche LMP 2000 (connue en interne sous le nom 93R), typique d'une barquette classique. McNish et Wollek participent au développement de la voiture. Elle n'est jamais présentée officiellement et ce projet ne connaît finalement pas de suite. Porsche a préféré l'abandonner et utiliser ses ressources financières pour développer le Cayenne, d'après Horst Marchart, à l’époque responsable de la R&D[19].
En 2005, Porsche lance le programme de la Porsche RS Spyder, premier prototype depuis l'abandon de la LMP2000 ; elle fait carrière essentiellement aux États-Unis. Elle fait ses débuts en ALMS avec l'aide du Penske Racing en LMP2 à la fin de la saison 2005.
La Porsche RS Spyder est championne de la catégorie LMP2 en ALMS en 2006, 2007, 2008 et aussi au Le Mans Series 2008. En 2008, la RS Spyder remporte même les 12 Heures de Sebring au classement général, terminant devant l'Audi R10 TDI, référence en endurance. En 2008 et 2009, la RS Spyder remporte la catégorie LMP2 au Mans. Sa carrière se termine en 2010 avec une victoire à Mosport.
En 2011, Porsche annonce son grand retour au Mans et en endurance pour 2014, avec la Porsche 919 qui utilise un système hybride, tout comme Audi et Toyota. L'année 2014 est marquée par la domination de Toyota lors du championnat du Monde d'endurance. Au Mans, deux 919 Hybrid sont engagées. Nettement moins rapide et moins fiable, Porsche réussit à pointer en tête à 2H00 de l'arrivée. Talonnée par une Audi nettement plus rapide, le moteur Porsche rendra l'âme et finira non classé. L'autre Porsche termine 11e. La 919 Hybrid décroche sa première victoire à São Paulo, dernière manche du championnat.
En 2015, Porsche poursuit son engagement en championnat du monde d'endurance et remporte pour la 17e fois les 24 Heures du Mans avec un doublé de la 919 Hybrid face aux Audi, après une course impeccable sans le moindre problème mécanique. Les courses suivantes seront tout autant couronnées de succès, et Porsche remporte le championnat constructeur après les 6 Heures de Shanghai en novembre 2015. Il s'agit du treizième titre constructeur en championnat du monde d'endurance pour Porsche, qui ne l'avait pas remporté depuis 1986[20]. Un an après être revenu en LMP1, c'est donc un succès total en endurance pour la marque allemande.
L'année suivante en 2016, Porsche remporte une nouvelle fois les 24 Heures du Mans avec la 919 n°2, en s'imposant miraculeusement face à la Toyota n°5 victime d'une panne qui l'obligea à s'arrêter à seulement 3 minutes de la fin de la course. C'est donc une 18e victoire que signe Porsche aux 24 h du Mans, la deuxième consécutive depuis leur retour. Le constructeur remporte finalement six des neuf manches du championnat et remporte le championnat constructeur après les 6 Heures de Shanghai.
Un an après, le 18 juin 2017, Porsche remporte pour la 3e fois consécutive et pour la 19e fois de son histoire les 24 Heures du Mans. Le 27 juillet 2017, Porsche met un terme à son engagement en endurance à la fin de la saison 2017[21].
Porsche a fourni un service de conseil pour de nombreuses marques comme Studebaker, RUF Automobile GmbH, Seat, Daewoo, Mercedes-Benz, Peugeot, Lada, Audi et Subaru, ainsi qu'à l'origine de la renaissance d'Harley-Davidson.
Les modèles Cayenne, Macan et Panamera sont assemblés dans une nouvelle usine à Leipzig où l'a été la supercar Carrera GT. Les modèles 911 et Boxster sont assemblés dans l'usine de Zuffenhausen, et les Cayman et une partie des Boxster sont assemblés en Allemagne dans l'ancienne usine Karmann (laquelle appartient depuis mars 2011 au groupe VW, sous le nom de Volkswagen Osnabrück GmbH).
La quasi-totalité de ses approvisionnements et de ses livraisons passe par le chemin de fer[réf. nécessaire].
En 2013, les ventes de Porsche s'élèvent à 162 000 véhicules, en hausse de 15 % par rapport à 2012[22].
Ls[23].
Année | Nombre de véhicules vendus | Variation annuelle |
---|---|---|
2003 | 71 141 | |
2004 | 81 542 | + 14,6 % |
2005 | 90 411 | + 10,9 % |
2006 | 95 919 | + 6,1 % |
2007 | 103 405 | + 7,8 % |
2008 | 88 935 | - 14,0 % |
2009 | 76 731 | - 13,7 % |
2010 | 97 273 | + 26,8 % |
2011 | 118 868 | + 22,2 % |
2012[24] | 141 105 | + 18,7 % |
2013 | 162 145 | + 14,9 % |
2014 | 189 849 | + 17,1 % |
2015[25] | 225 121 | + 19 % |
2016[26] | 237 778 | + 5,6 % |
Le logo de Porsche est inspiré du blason de Stuttgart[27], brochant sur celui de l'État libre populaire de Wurtemberg ainsi que les bois de cerfs des armoiries de la Maison Wurtemberg.
Modèle | Conception du moteur | Cylindrée | Puissance | Couple maxi | Taux de compression | Transmission | Boîte de vitesses | Poids à vide (DIN) | Vitesse Maxi | Accélération de 0 à 100 km/h | Cycle urbain (L/ 100 km) | Cycle extra urbain (L/ 100 km) | Cycle Mixte (L/ 100 km) | Émissions de CO2 (g/km) |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Boxster | Moteur central | 2 893 cm3 | 255 ch (188 kW) | 290 Nm | 11,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 rapports / PDK 7 Rapports | 1 335 kg / 1 365 kg | 263 km/h / 261 km/h | 5,9 s / 5,8 s (5,6 s en mode Sport+) | 13,8 l / 13,6 l | 6,9 l / 6,5 l | 9,4 l / 9,1 l | 221 / 214 |
Boxster S | Moteur central | 3 436 cm3 | 310 ch (228 kW) | 360 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 rapports / PDK 7 Rapports | 1 355 kg / 1 380 kg | 274 km/h / 272 km/h | 5,3 s / 5,2 s (5,0 s en mode Sport+) | 14,4 l / 14,1 l | 7,2 l / 6,6 l | 9,8 l / 9,4 l | 230 / 221 |
Boxster Spyder | Moteur central | 3 436 cm3 | 320 ch (235 kW) | 370 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 rapports / PDK 7 rapports | 1 275 kg / 1 300 kg | 267 km/h / 265 km/h | 5,1 s / 5,0 s (4,8 s en mode Sport+) | 14,2 l / 14,0 l | 7,1 l / 6,6 l | 9,7 l / 9,3 l | 228 / 218 |
Modèle | Conception du moteur | Cylindrée | Puissance | Couple maxi | Taux de Compression | Transmission | Boîte de vitesses | Poids à vide (DIN) | Vitesse Maxi | Accélération de 0 à 100 km/h | Cycle urbain (L/ 100 km) | Cycle extra urbain (L/ 100 km) | Cycle Mixte (L/ 100 km) | Émissions de CO2 (g/km) |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cayman | Moteur central | 2 893 cm3 | 265 ch (195 kW) | 300 Nm | 11,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 rapports / PDK 7 rapports | 1 330 kg / 1 360 kg | 265 km/h / 263 km/h | 5,8 s / 5,7 s (5,5 s en mode Sport+) | 13,8 l / 13,6 l | 6,9 l / 6,5 l | 9,4 l / 9,1 l | 221 / 214 |
Cayman S | Moteur central | 3 436 cm3 | 320 ch (235 kW) | 370 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 rapports / PDK 7 rapports | 1 350 kg / 1 375 kg | 277 km/h / 275 km/h | 5,2 s / 5,1 s (4,9 s en mode Sport+) | 14,4 l / 14,1 l | 7,2 l / 6,6 l | 9,8 l / 9,4 l | 230 / 221 |
Cayman R | Moteur Central | 3 436 cm3 | 330 ch (243 kW) | 370 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 rapports / PDK 7 rapports | 1 295 kg / 1 320 kg | 282 km/h / 280 km/h | 5,0 s / 4,9 s (4,7 s en mode Sport+) | 14,2 l / 14,0 l | 7,1 l / 6,6 l | 9,7 l / 9,3 l | 228 / 218 |
Cayman S Black Edition | Moteur Central | 3 436 cm3 | 330 ch (243 kW) | 370 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 rapports / PDK 7 rapports | ? / ? | 279 km/h / 277 km/h | 5,1 s / 5,0 s (4,8 s en mode Sport+) | 14,4 l / 14,1 l | 7,2 l / 6,6 l | 9,8 l / 9,4 l | 230 / 221 |
Modèle | Conception du moteur | Cylindrée | Puissance | Couple maxi | Taux de Compression | Transmission | Boîte de vitesses | Poids à vide (DIN) | Vitesse Maxi | Accélération de 0 à 100 km/h | Cycle urbain (L/ 100 km) | Cycle extra urbain (L/ 100 km) | Cycle Mixte (L/ 100 km) | Émissions de CO2 (g/km) |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Carrera | Moteur arrière | 3 614 cm3 | 345 ch (254 kW) | 390 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 415 kg / 1 445 kg | 289 km/h / 287 km/h | 4,9 s / 4,7 s (4,5 s en mode Sport+) | 15,5 l / 14,7 l | 7,2 l / 6,9 l | 10,3 l / 9,8 l | 242 / 230 |
Carrera S | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 385 ch (283 kW) | 420 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 425 kg / 1 465 kg | 302 km/h / 300 km/h | 4,7 s / 4,5 s (4,3 s en mode Sport+) | 15,9 l / 15,3 l | 7,4 l / 7,1 l | 10,6 l / 10,2 l | 250 / 240 |
Carrera Cabriolet | Moteur arrière | 3 614 cm3 | 345 ch (254 kW) | 390 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 500 kg / 1 530 kg | 289 km/h / 287 km/h | 5,1 s / 4,9 s (4,7 s en mode Sport+) | 15,6 l / 14,9 l | 7,3 l / 6,9 l | 10,4 l / 9,9 l | 245 / 233 |
Carrera S Cabriolet | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 385 ch (283 kW) | 420 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 510 kg / 1 540 kg | 302 km/h / 300 km/h | 4,9 s / 4,7 s (4,5 s en mode Sport+) | 16,2 l / 15,5 l | 7,6 l / 7,2 l | 10,8 l / 10,3 l | 254 / 242 |
Carrera 4 | Moteur arrière | 3 614 cm3 | 345 ch (254 kW) | 390 Nm | 12,5 : 1 | Intégrale | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 470 kg / 1 500 kg | 284 km/h / 282 km/h | 5,0 s / 4,8 s (4,6 s en mode Sport+) | 15,9 l / 15,2 l | 7,7 l / 7,2 l | 10,6 l / 10,1 l | 249 / 237 |
Carrera 4 S | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 385 ch (283 kW) | 420 Nm | 12,5 : 1 | Intégrale | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 480 kg / 1 510 kg | 297 km/h / 295 km/h | 4,7 s / 4,5 s (4,3 s en mode Sport+) | 16,5 l / 15,8 l | 7,9 l / 7,5 l | 11,0 l / 10,5 l | 259 / 247 |
Carrera 4 Cabriolet | Moteur arrière | 3 614 cm3 | 345 ch (254 kW) | 390 Nm | 12,5 : 1 | Intégrale | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 555 kg / 1 585 kg | 284 km/h / 282 km/h | 5,2 s / 5,0 s (4,8 s en mode Sport+) | 16,2 l / 15,5 l | 7,8 l / 7,4 l | 10,8 l / 10,3 l | 254 / 242 |
Carrera 4 S Cabriolet | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 385 ch (283 kW) | 420 Nm | 12,5 : 1 | Intégrale | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 565 kg / 1 595 kg | 297 km/h / 295 km/h | 4,9 s / 4,7 s (4,5 s en mode Sport+) | 16,8 l / 16,1 l | 8,0 l / 7,7 l | 11,2 l / 10,7 l | 263 / 251 |
Targa 4 | Moteur arrière | 3 614 cm3 | 345 ch (254 kW) | 390 Nm | 12,5 : 1 | Intégrale | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 530 kg / 1 560 kg | 284 km/h / 282 km/h | 5,2 s / 5,0 s (4,8 s en mode Sport+) | 15,9 l / 15,5 l | 7,7 l / 7,4 l | 10,6 l / 10,3 l | 249 / 242 |
Targa 4 S | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 385 ch (283 kW) | 420 Nm | 12,5 : 1 | Intégrale | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 540 kg / 1 570 kg | 297 km/h / 295 km/h | 4,9 s / 4,7 s (4,5 s en mode Sport+) | 16,5 l / 15,8 l | 7,9 l / 7,5 l | 11,0 l / 10, l | 259 / 251 |
Carrera GTS | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 408 ch (300 kW) | 420 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 420 kg / 1 450 kg | 306 km/h / 304 km/h | 4,6 s / 4,4 s (4,2 s en mode Sport+) | 15,9 l / 15,3 l | 7,6 l / 7,2 l | 10,6 l / 10,2 l | 250 / 240 |
Carrera GTS Cabriolet | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 408 ch (300 kW) | 420 Nm | 12,5 : 1 | Propulsion | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 515 kg / 1 545 kg | 306 km/h / 304 km/h | 4,8 s / 4,6 s (4,4 s en mode Sport+) | 16,2 l / 15,5 l | 7,7 l / 7,3 l | 10,8 l / 10,3 l | 254 / 242 |
Turbo | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 500 ch (368 kW) | 650 Nm (700 Nm avec fonction Overboost) | 9,8 : 1 | Intégrale | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 570 kg / 595 kg | 313 km/h | 3,7 s / 3,6 s (3,4 s en mode Sport+) | 17,3 l / 17,0 l | 8,3 l / 8,1 l | 11,6 l / 11,4 l | 272 / 268 |
Turbo Cabriolet | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 500 ch (368 kW) | 650 Nm (700 Nm avec fonction Overboost) | 9,8 : 1 | Intégrale | Méca. 6 Rapports / PDK 7 Rapports | 1 645 kg / 1 670 kg | 313 km/h | 3,8 s / 3,7 s (3,5 s en mode Sport+) | 17,5 l / 17,2 l | 8,3 l / 8,2 l | 11,7 l / 11,5 l | 275 / 270 |
Turbo S | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 530 ch (390 kW) | 700 Nm | 9,8 : 1 | Intégrale | PDK 7 Rapports | 585 kg | 315 km/h | 2,8 s | 16,5 l | 8,1 l | 11,4 l | 268 |
Turbo S Cabriolet | Moteur arrière | 3 800 cm3 | 530 ch (390 kW) | 700 Nm | 9,8 : 1 | Intégrale | PDK 7 Rapports | 660 kg | 315 km/h | 3,2 s | 16,7 l | 8,2 l | 11,5 l | 270 |
Depuis l'année modèle 1981, les numéros de série (Vehicle Identification Number) comportent 17 caractères, selon le format suivant :
Exemple : WP0ZZZ98Z9U72xxxx est une Boxster S, année modèle 2009, fabriquée à Uusikaupunki.
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